Features some of the most memorably drawn villains in all of fiction - the treacherous gangmaster Fagin, the menacing thug Bill Sikes, the Artful Dodger and their den of thieves in the grimy London backstreets.
Chronicles David Copperfield's extraordinary journey through life, as he encounters villains, saviours, eccentrics and grotesques, including the wicked Mr Murdstone, stout-hearted Peggotty, formidable Betsey Trotwood, impecunious Micawber and odious Uriah Heep.
Personne ne nous avait prévenus que De Grandes Espérances, ce classique des classiques, est aussi le plus bluffant des romans ! A-t-on encore besoin du cinéma et des séries télévisées, quand on a un tel livre entre les mains ? Page après page (et on les tourne très vite), De Grandes Espérances démontre qu'en matière de suspense, de rythme, de puissance de suggestion, les mots n'ont aucun besoin des images : ils les contiennent déjà - et avec une force incomparable - dès lors que la traduction restitue au texte tout son éclat et sa vivacité d'origine.
La lecture achevée, on ne sait ce qu'il faut admirer le plus dans ces Grandes Espérances. L'intrigue digne des plus grands romans d'aventures ? Les scènes d'anthologie, qui font passer le lecteur par toutes les émotions ? Les dialogues, où l'art du traducteur Jean-Jacques Greif fait merveille ? Les personnages inoubliables : Pip, le bagnard en fuite, l'inquiétante Miss Havisham, Joe le forgeron, la belle Estella au coeur de glace... ?
Et dans quelle catégorie ranger ce livre, qui semble contenir tous les romans possibles ? Récit d'apprentissage, histoire d'amour grand format, roman social, feuilleton à rebondissements : De Grandes Espérances est tout cela à la fois.
RÉSUMÉ La vie n'est pas facile pour Pip. Orphelin, élevé à la dure, comment pourrait-il échapper à sa triste condition de garçon de la campagne, voué à devenir forgeron ?
Reçu chez l'étrange, vieille et riche mademoiselle Havisham, il fait la connaissance de sa fille adoptive, la ravissante Estella. Depuis qu'elle a été abandonnée le jour de ses noces, le temps semble s'être arrêté dans la maison de la vieille femme. Elle ne vit plus que pour se venger des hommes, et Estella, dont Pip tombe amoureux, est l'instrument de cette vengeance...
De plus en plus honteux de ses origines, Pip se réfugie dans son rêve de devenir un gentleman... Or un jour, il est informé qu'un bienfaiteur anonyme désire lui allouer une importante somme d'argent, pour financer son installation à Londres et favoriser son ascension sociale.
Alors que ses espoirs de grandeur se réalisent enfin, et qu'il s'apprête à revoir Estella, Pip est loin de soupçonner ce qui l'attend.
Coffret de deux volumes vendus ensemble, réunissant des réimpressions récentes des premières éditions (1954, 1958).
Dickens est un poète. Il se trouve aussi bien dans le monde imaginaire que dans le réel. [...] Son imagination est si vive, qu'elle entraîne tout avec elle dans la voie qu'elle se choisit. Si le personnage est heureux, il faut que les pierres, les fleurs et les nuages le soient aussi ; s'il est triste, il faut que la nature pleure avec lui. Jusqu'aux vilaines maisons des rues, tout parle. Le style court à travers un essaim de visions, il s'emporte jusqu'aux plus étranges bizarreries ; il touche à l'affectation, et pourtant cette affectation est naturelle ; Dickens ne cherche pas les bizarreries, il les rencontre. Cette imagination excessive est comme une corde trop tendue : elle produit d'elle-même, et sans choc violent, des sons qu'on n'entend point ailleurs.
Hippolyte Taine, 1856.
Contes de Noël / Ch. Dickens ; trad. de l'anglais sous la dir. de P. Lorain par Mlle de Daint-Romain et M. de Goy Date de l'édition originale : 1890 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Ebenezer Scrooge est un banquier bien connu pour son avarice à l'extrême. Vivant seul, allergique à toutes formes de relations, un soir de Noël, il reçoit la visite d'un spectre qui n'est autre que le fantôme de son défunt associé. Ce dernier vient lui annoncer la venue de trois autres spectres : le fantôme des Noëls passé, présent et futur. Ces visites sont l'occasion d'inviter Scrooge à la rédemption et à l'ouverture du coeur.
Le seul roman français (et qui plus est historique) du grand Dickens a trouvé dans Emmanuel Bove un traducteur inattendu (une traduction restée inédite) : une histoire d'humiliés qui profitent de la Terreur révolutionnaire pour se venger, au risque d'entrainer des innocents dans leur frénésie ; un allerretour entre Paris la sanglante et Londres le refuge, entre l'excès français et la réaction anglaise ; un avocat brillant et alcoolique qui donne un sens à sa vie en montant sur l'échafaud à la place d'un autre et accomplir ainsi le plus beau des gestes amoureux. Pathétique, digne, d'une puissante sobriété, ce relativement court roman de Dickens, s'il est un de ses plus lus partout, reste relativement méconnu en France où on gagnerait beaucoup à le découvrir dans cette superbe traduction.
Olivier Twist / par Ch. Dickens ; roman anglais traduit sous la direction de P. Lorain, par Alfred Gérardin Date de l'édition originale : 1881 Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
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Textual notes and a Dickens chronology accompany this satire of Victorian society built around an interminable suit at the Court of Chancery.
Lorsqu'il achève la publication en feuilleton, en novembre 1837, des Papiers posthumes du Pickwick Club, Charles Dickens (1812-1870) - âgé de vingt-cinq ans et connu sous le pseudonyme de Boz - est au seuil d'une gloire et d'un succès dont il ne se départira jamais plus. En lançant sur les routes de la campagne anglaise un duo donquichottesque composé d'un homme d'affaires à la retraite bedonnant et chauve et de son valet cockney, flanqué d'une troupe fantasque, Dickens réinvente le genre picaresque, célébrant avec nostalgie les coaching days, les beaux jours de la route, des diligences, des auberges et des relais de poste. Par son génie comique, ses joyeux épisodes de farce et de burlesque, ses dialogues truculents et sa tendre ironie à l'endroit des personnages, le texte charme rapidement les lecteurs qui se délectent du vibrant hommage rendu à la beauté idyllique et pastorale du pays anglais - antidote salutaire aux affres de l'ère industrielle et de la modernité. Annonciateur des romans de la maturité, Les Papiers posthumes du Pickwick Club jette à la fois les bases de l'oeuvre littéraire mais aussi celles de l'action réformatrice politique et sociale de son auteur. Chef-d'oeuvre d'humour et classique incontournable, le texte est ici présenté, comme dans les éditions du XIX? siècle, avec les gravures de Hablot K. Browne, dit Phiz, illustrateur et comparse indissociable de Boz. La présente édition propose de découvrir la vie du jeune Dickens, de parcourir l'histoire éditoriale de ce qui fut l'un des plus grands succès de librairie du siècle, dans une Angleterre victorienne en pleine mutation sociale et culturelle, où le divertissement est une affaire sérieuse, où l'art de rire n'est pas l'apanage des puissants.
Voici un ouvrage de Dickens à peu près ignoré en France, qui fut partiellement traduit en 1951, dans une édition confidentielle, aujourd´hui épuisée et introuvable (Éditions du Globe).L´histoire de ce manuscrit est assez surprenante, et c´est par un curieux détour que Dickens en devint l´auteur officiel :
Le clown Grimaldi employa l´année qui précéda sa mort à rédiger l´histoire complète de sa vie, puis confia le volumineux manuscrit à un ami, qui s´appliqua à le condenser avant de le présenter à un premier éditeur. Celui-ci, profitant de la liberté que lui rendait la mort de l´auteur, les porta immédiatement à Charles Dickens. Charles Dickens, en 1838, n´avait que vingt-cinq ans, mais sous le pseudonyme de « Boz »était déjà un auteur chéri du public. Les Sketches, publiés dans les journaux et magazines dont ils avaient fait le succès, les Pickwick Papers, si promptement populaires, avaient assis en trois ou quatre ans sa réputation. Le propriétaire des Mémoires de Grimaldi eut donc toutes les raisons de penser qu´il en tirerait un excellent parti si Dickens les remaniait entièrement en y déployant sa simplicité un peu narquoise, sa bonhomie rusée, sa profonde connaissance des moeurs vulgaires, de l´argot populaire et des excentricités mal famées. Dickens, de son côté, sentit que c´était là pour sa plume un heureux sujet, et qu´elle ne dérogerait pas en s´associant aux souvenirs d´un clown, il est vrai, mais d´un clown comme on n´en avait guère vu jusqu´alors.
La vie du grand Joe, son aventureuse carrière, nous livre en effet quelques-uns des plus curieux aspects des moeurs britanniques, de la vie de ses théâtres et de ses bas-fonds. Le hasard, en semant bien des incidents étranges, des rencontres dramatiques, des péripéties bizarres dans l´existence de ce comédien, semble s´être complu à lui faire un sort extraordinaire, et à le désigner ainsi doublement à l´attention des biographes. Et par bien des aspects, Dickens vit sans doute en cet enfant prodige et en cet artiste au coeur pur une sorte de double de lui-même.
Idéal pour commencer à lire en VO un classique de la littérature anglo-saxonne. A découvrir : un texte en anglais adapté et revu par des enseignants, de belles illustrations, un lexique en fin d'ouvrage pour aider à la compréhension du texte et une version audio pour s'imprégner du bon accent dès la classe de 6e.
Envie de lire en anglais les plus grands classiques de la littérature ? Avec Harrap's, c'est facile, grâce à : un texte adapté et revu par des enseignants, de belles illustrations pour suivre l'histoire, un lexique anglais-français en fin d'ouvrage pour aider à bien comprendre le texte. Pour aller plus loin : en suivant sur le livre, écoute la version audio et savoure toute la musicalité de l'anglais ; Ecoute et répète chaque mot du lexique pour perfectionner ton accent et mémoriser le vocabulaire.
Et pour les enseignants une fiche pédagogique photocopiable destinée aux élèves, avec de nombreuses activités ludiques liées à l'histoire.
Le magasin d'antiquités (Nouvelle édition) / par Ch. Dickens Date de l'édition originale : 1894 Collection : Bibliothèque des écoles et des familles Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
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Tells the tale of Ebenezer Scrooge, who is haunted by three spirits and learns the true meaning of Christmas.
Dickens publia longtemps, chaque année, dans le magazine qu'il dirigeait, un conte de Noël, pour resserrer plus étroitement, comme en famille, le lien qu'il avait su nouer avec ses innombrables fidèles.
L'Embranchement de Mugby est l'un des tout derniers, et le dernier qu'il ait écrit seul, trois ans avant sa mort. Sa vie intime, alors, n'était pas transparente ni sa conscience tout à fait en repos. Peut-être est-ce pour cela que des accents si graves préludent ici aux fêtes du coeur et de l'humour attendri, puis les accompagnent en sourdine jusqu'au dénouement heureux d'une moralité tissée de sourires et de larmes.
Elle montre à sa manière que l'on guérit de soi en découvrant les autres, et aussi que l'on est comblé par le pardon que l'on accorde. Simples évidences, mais portées à l'incandescence par le génie. P. L.
La plus extraordinaire énigme littéraire de tous les temps.
Le Mystère d'Edwin Drood est le dernier roman de Charles Dickens, mort en 1870 avant d'avoir pu l'achever. La narration est centrée sur la disparition inexpliquée du jeune Edwin Drood, en apparence comblé par son oncle John Jasper, maître de choeur à la cathédrale de Cloisterham, ainsi que par la perspective d'un mariage avec l'orpheline Rosa Bud.
Jasper mène tout d'abord l'enquête, mais suscite bien vite les soupçons du lecteur, car il mène une double vie, opiomane à ses heures et amoureux de Rosa. De surcroît, Jasper ignorait qu'Edwin et Rosa avaient rompu leurs fiançailles, la veille même de la disparition. Le texte de Dickens s'arrête avec l'apparition d'un détective prétendant s'appeler Datchery, dont la crinière blanche laisse à penser qu'il est, sous un déguisement, un personnage déjà connu du lecteur.
Depuis plus d'un siècle, lecteurs, écrivains et critiques tentent d'élucider l'énigme. Edwin Drood a-t-il simulé sa propre disparition ? S'il est mort, qui l'a tué ? Qui est Dick Datchery ? Qui Rosa choisira-t-elle d'épouser ? Une suite est publiée aux États-Unis dès 1871, une autre deux ans plus tard en Angleterre, écrite " par l'intermédiaire d'un médium ". Plusieurs fins ont été proposées, notamment par Chesterton, Jean-Pierre Ohl, Jean Ray ou Dan Simmons (Drood, Robert Laffont, 2011). C'est la solution de l'écrivain belge Paul Maury (publiée en 1956), alias Paul Kinnet, auteur de polars, que reproduit la présente édition.
Pip, a young orphan, receives a fortune from a mysterious benefactor and travels to London in order to become a gentleman.
Comme le note Sylvère Monod dans sa préface, «ce volume est bien le lieu privilégié pour se livrer à l'observation et surtout à la dégustation de ce phénomène littéraire exceptionnel qu'est l'humour de Charles Dickens». Les deux oeuvres présentées ici, qui appartiennent à la première phase de la carrière de l'écrivain, témoignent en effet de ce qui est probablement la caractéristique la plus puissante et la plus distincte de son art. Avec les Esquisses de Boz, Dickens donne sa toute première oeuvre, qu'il appelle «un ballon d'essai» dont le but n'est que «d'offrir de petits tableaux de la vie et des moeurs telles qu'elles sont réellement». Aujourd'hui encore le charme demeure de ces carnets de croquis dont John Forster parlait comme d'«un livre qui aurait résisté à l'épreuve du temps même s'il n'y en avait pas eu d'autres». Notons qu'une partie des récits contenus dans ce recueil était jusqu'à ce jour inédite en français. Dans Martin Chuzzlewit, roman paru en 1844, l'humour s'épanouit; entre l'exubérance comique de quelques passages et la délicatesse souriante de certaines scènes, une gamme pleinement représentative de l'art de Dickens s'offre au lecteurs. Martin Chuzzlewit est une oeuvre éloignée de tout souci de perfection formelle, c'est par son foisonnement et son extraordinaire vitalité qu'elle plaît. L'annotation de l'un et l'autre livre retrace l'histoire des textes et éclaire les allusions et références qui abondent dans les oeuvres de Dickens.
Mr Gradgrind élève ses deux enfants, Tom et Louisa, avec dureté. L'imagination est proscrite alors que le calcul est au centre des apprentissages. Une fois jeune homme, Tom finira par être embauché dans la banque de Mr. Bounderby tandis que Louisa épousera ce dernier. Mais l'éducation reçue par les deux jeunes gens parviendra-t-elle à éteindre leurs instincts les plus profonds...
La carrière de Charles Dickens a commencé tôt. Tout se passe entre 1836 et 1870. Tout : les quinze romans et les récits plus courts.
L"Ami commun (1864-1865) est dans la lignée des énormes machines lancées par Dickens dès 1836 : un millier de pages, où prolifèrent avec exubérance incidents, personnages, lieux, mots, images et idées. Le comique y fait toujours aussi bon ménage avec l'émotion. La nouveauté réside dans la fermeté avec laquelle le romancier tient les fils de ses complexes intrigues, dans la hardiesse encore accrue de son invention langagière, dans la vigoureuse ampleur de sa réflexion sur la société, la politique, la finance, l'éducation, l'homme, l'amour et le mariage.
Du Mystère d'Edwin Drood, il n'en n'écrivit que la moitié, et mourut le 9 juin 1870, la plume à la main.
De 1870 à 1990, des dizaines de «suites» et des centaines d'études ont été écrites pour tenter de répondre aux interrogations que laisse subsister cette «fugue inachevée». L'auteur a légué en tout cas au lecteur un fragment d'une singulière richesse ; la qualité littéraire du Mystère d'Edwin Drood n'a guère retenu l'attention de la critique ; elle est pourtant éclatante. Jamais Dickens n'avait atteint une aussi sobre maîtrise de ses moyens d'expression.
L'ouvrage s'achève par un panorama bibliographique des études consacrées à Dickens.