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Un certain 4 juillet - independance day, la fête nationale américaine -, judith, la femme de jernigan, s'est tuée.
Depuis, la vie de ce quadragénaire s'est cassée et il essaie d'en recoller les morceaux, cherchant de l'aide dans la bière, le gin, les séries télévisées, mauvaises si possible, qu'il absorbe jusqu'à plus soif.
Et puis, il y a son fils qui joue des trucs bizarres sur sa guitare électrique, et trouve le moyen de le précipiter dans les bras de la mère assez bizarre de sa petite amie qui ne l'est pas moins.
Jernigan monologue, faux cynique, vrai sensible. où sont passées les couleurs de la vie ?.
