Noam est à la recherche de celle qu'il aime, enlevée mystérieusement. L'enquête le mène au pays des Eaux douces - la Mésopotamie - où se produisent des événements inouïs, tels que la création des premières villes ou l'invention de l'écriture. À Babel, le tyran Nemrod fait construire la plus haute tour jamais conçue, une véritable « porte du ciel ». Grâce à sa fonction de guérisseur, Noam s'introduit dans tous les milieux, auprès des ouvriers, chez la reine Kubaba, jusqu'aux pasteurs nomades. Que choisira-t-il ? Son bonheur personnel ou les conquêtes de la civilisation ?... Après Paradis perdus, l'auteur utilise ici les dernières découvertes historiques sur l'Orient ancien et nous plonge dans une époque foisonnante, prodigieuse, à laquelle nous devons tant. Complots, trahisons, fourberies... C'est Dumas ressuscité dans le texte !
Il y a des livres dont les phrases jubilent, dont on sent qu'elles ont été écrites par un auteur en joie. Le Figaro Sa spectaculaire érudition se mêle à son irrésistible envie de raconter une bonne et grande histoire. Le Point Un roman envoûtant. Lire Magazine littéraire.
« Marcher là-bas, où tout a commencé. » Après La Nuit de feu, où Éric-Emmanuel Schmitt décrivait son expérience mystique dans le désert du Hoggar, il revient aux sources avec ce récit de voyage en Terre sainte, territoire aux mille empreintes. Bethléem, Nazareth, Césarée, lieux intenses et cosmopolites qu'il saisit sur le vif tout en approfondissant son expérience spirituelle, ses interrogations, réflexions, sensations, étonnements jusqu'à la surprise finale, à Jérusalem, d'une rencontre inouïe avec ce qu'il nomme « L'incompréhensible ».
Dramaturge, romancier, nouvelliste, essayiste, cinéaste, traduit en 48 langues et joué dans plus de 50 pays, Éric-Emmanuel Schmitt est un des auteurs les plus lus et les plus représentés dans le monde. Membre depuis 2016 de l'académie Goncourt, il prolonge ici sa réflexion sur la foi, inaugurée avec La Nuit de feu (2015). L'auteur nous livre ici une expérience spirituelle unique et inoubliable. Biblioteca
Raconter l'histoire de l'humanité sous la forme d'un roman : faire défiler les siècles, en embrasser les âges, en sentir les bouleversements... Depuis plus de trente ans, ce projet ambitieux occupe Éric-Emmanuel Schmitt. Accumulant connaissances et savoirs, créant des personnages forts et touchants, l'écrivain donne enfin naissance à La Traversée des temps et nous propulse de la préhistoire à nos jours, d'évolutions en révolutions, tandis que le passé éclaire le présent.
Paradis perdus ouvre cette aventure. Noam en est le héros, né il y a huit mille ans dans un village lacustre, au coeur d'une nature paradisiaque. Il affronte les drames de son clan, rencontre Noura, une femme fascinante, et se mesure à une calamité célèbre : le déluge, qui va déterminer son destin. Mais serait-il le seul à parcourir les époques ?Un véritable roman d'aventures, avec une intrigue tragique et biblique. Magistral. Le Figaro.Palpitant, enrichissant, drôle et tendre. On est pressé de lire la suite. Ouest-France.Un syncrétisme de haute volée. Libération
Reviens. J'arriverai plus facilement à te pardonner qu'à ne plus t'aimer. En 1960, deux couples mythiques séjournent au Beverly Hills Hôtel, à Los Angeles. Dans le bungalow 20 logent Simone Signoret et Yves Montand. Ils s'aiment, ils sont beaux, encore jeunes, pleins de vie, au faîte de leur gloire. Dans le bungalow voisin, Marilyn Monroe et Arthur Miller connaissent les derniers instants de leur romance. Arthur s'enfuit, Simone se prend de sympathie sincère pour Marilyn tandis qu'Yves s'efforce désespérément de résister à ses charmes. Éric-Emmanuel Schmitt compose une pièce intense et sensible qui met quatre figures de l'histoire du cinéma aux prises avec leurs désirs contrariés, leurs fragilités, leur humanité, et brosse le portrait inoubliable de deux femmes meurtries.
Poursuivant sa traversée de l'histoire humaine, Noam s'éveille d'un long sommeil sur les rives du Nil, en 1650 av. J.-C. et se lance à la découverte de Memphis, capitale des deux royaumes d'Égypte. Les temps ont bien changé. Des maisons de plaisir à la Maison des morts, des quartiers hébreux au palais de Pharaon se dévoile à lui une civilisation inouïe qui se transmet sur des rouleaux de papyrus, qui vénère le Nil, fleuve nourricier, momifie les morts, invente l'au-delà, érige des temples et des pyramides pour accéder à l'éternité. Mais Noam, le coeur plein de rage, a une unique idée en tête : en découdre avec son ennemi pour connaître enfin l'immortalité heureuse auprès de Noura, son aimée. Avec le troisième tome du cycle de La Traversée des Temps, Éric-Emmanuel Schmitt nous embarque en Égypte ancienne, une civilisation qui prospéra pendant plus de trois mille ans. Fertile en surprises, Soleil sombre restitue ce monde en pleine effervescence dont notre modernité a conservé des traces, mais qui reste dans l'Histoire des hommes une parenthèse aussi sublime qu'énigmatique.
Un brillant Soleil sombre. Le Parisien Un tome 3 captivant. Pélerin
Oscar a dix ans et vit désormais à l'hôpital. Même si personne n'ose le lui dire, il sait qu'il va mourir. Parmi les dames en blouse rose qui viennent passer du temps avec les enfants malades, il en est une qui lui propose, pour qu'il se sente moins seul, d'écrire à Dieu. Ces lettres décrivent douze jours dans l'existence d'Oscar, des jours cocasses et poétiques, pleins de personnages drôles et émouvants. Douze jours qui seront peut-être les derniers. Mais, grâce à Mamie-Rose qui noue avec Oscar un lien très fort, ils deviendront légende.C'est un livre de lumière. Un pur moment de tendresse, un hymne à la vie, une bataille gagnée contre la mort. Violaine Gelly, Psychologies magazine.Un prodigieux conte métaphysique sur la souffrance et la lâcheté. Audacieux, et sacrément plus efficace qu'une thèse ou de beaux discours. François Busnel, L'Express.Un livre qui restera pour les âges à venir. Françoise Xenakis, Télé Matin (France 2).
Paris, années soixante. Momo, un petit garçon juif de douze ans, devient l'ami du vieil épicier arabe de la rue Bleue. Mais les apparences sont trompeuses : Monsieur Ibrahim, l'épicier, n'est pas arabe, la rue Bleue n'est pas bleue et l'enfant n'est peut-être pas juif...
8 octobre 1908 : Adolf Hitler recalé.
Que se serait-il passé si l'École des beaux-arts de Vienne en avait décidé autrement ? Que serait-il arrivé si, cette minute-là, le jury avait accepté et non refusé Adolf Hitler, flatté puis épanoui ses ambitions d'artiste ?
Cette minute-là aurait changé le cours d'une vie, celle du jeune, timide et passionné Adolf Hitler, mais elle aurait aussi changé le cours du monde...
« Maman est morte ce matin et c'est la première fois qu'elle me fait de la peine. » Pendant deux ans, Éric-Emmanuel Schmitt a tenté d'apprivoiser l'inacceptable : la disparition de celle qui l'avais mis au monde. Ces pages racontent son « devoir de bonheur », sa lutte acharnée et difficile contre le chagrin. Car demeurer inconsolable aurait été trahir sa mère, cette femme lumineuse qui lui a donné le goût de l'existence, la passion des arts, le culte de la joie.
Ce texte explore la détresse présente mais aussi un passé heureux. Et tandis que s'élabore la recomposition d'un homme mûr qui n'est plus « l'enfant de personne », l'écrivain atteint à l'universel, parvenant à transformer une expérience de la mort en une vibrante leçon de vie.Un livre formidablement indiscret qui rejoint chacun dans l'intimité de sa relation à ses parents. La Croix.Avec intelligence et finesse, Éric-Emmanuel Schmitt analyse, lucide et touchant, la force d'Oedipe. Psychologies magazine.
À vingt-huit ans, Eric-Emmanuel Schmitt entreprend une randonnée dans le grand Sud algérien. Au cours de l'expédition, il s'égare dans l'immensité du Hoggar. Sans eau ni vivres durant la nuit glaciale, il n'éprouve pourtant nulle peur et sent au contraire se soulever en lui une force brûlante. Un sentiment de paix, de bonheur, d'éternité l'envahit. Le philosophe rationaliste voit s'ébranler toutes ses certitudes. Ce feu, pourquoi ne pas le nommer Dieu ?
Cette « nuit de feu », Eric-Emmanuel Schmitt la raconte pour la première fois, dévoilant au fil d'un fascinant voyage intérieur son intimité spirituelle et l'expérience qui a transformé sa vie d'homme et d'écrivain.
Un récit vivant, concis, concret, qui éclaire les circonstances de sa conversion et ses conséquences, sans chercher à convaincre. Astrid de Larminat, Le Figaro.
Une méditation profonde et joyeuse sur le sens de notre existence. François Lestavel, Paris Match.
« - Madame Pylinska, quel est le secret de Chopin ?
- Il y a des secrets qu'il ne faut pas percer mais fréquenter : leur compagnie vous rend meilleur. ».
Madame Pylinska a une bien étrange manière d'enseigner le piano. L'excentrique Polonaise tyrannise Eric-Emmanuel Schmitt, son jeune élève. Pour entrer dans le mystère de Frédéric Chopin, elle exige d'écouter le silence, de cueillir des fleurs à l'aube, de suivre le vent dans les arbres et le mouvement des vagues, de faire l'amour, mieux, d'aimer. Sa leçon de piano devient apprentissage de la vie.
L'oeuvre d'un musicien de génie peut-elle enchanter toute une vie et lui donner un sens ? Aidera-t-elle aussi le narrateur à comprendre le secret bouleversant d'une personne aimée ?
« - Nous allons conclure un marché, veux-tu ? Toi, Joseph, tu feras semblant d'être chrétien, et moi je ferai semblant d'être juif. Ce sera notre secret, le plus grand des secrets. Toi et moi pourrions mourir de trahir ce secret. Juré ?
- Juré. » 1942. Joseph a sept ans. Séparé de sa famille, il est recueilli par le père Pons, un homme simple et juste, qui ne se contente pas de sauver des vies.
Mais que tente-t-il de préserver, tel Noé, dans ce monde menacé par un déluge de violence ?
Un court et bouleversant roman dans la lignée de Monsieur Ibrahim... et d'Oscar et la dame rose qui ont fait d'Eric-Emmanuel Schmitt l'un des romanciers français les plus lus dans le monde.
Première partie : Dans le Jardin des oliviers, un homme attend que les soldats viennent l'arrêter pour le conduire au supplice. Quelle puissance surnaturelle a fait de lui, fils de menuisier, un agitateur, un faiseur de miracles prêchant l'amour et le pardon ?
Deuxième partie : Trois jours plus tard, au matin de la Pâque, Pilate dirige la plus extravagante des enquêtes policières. Un cadavre a disparu et est réapparu vivant ! Y a-t-il un mystère Jésus ou simplement une affaire Jésus ? A mesure que Sherlock Pilate avance dans son enquête, le doute s'insinue dans son esprit. Et avec le doute, l'idée de foi.
L'Evangile selon Pilate a reçu le Grand Prix des lectrices de Elle 2001.
Par une nuit orageuse, quatre femmes se retrouvent dans le château de La duchesse de Vaubricourt.
Don Juan, qui les a bafouées autrefois, sera jugé et devra réparer ses torts en épousant Angélique, filleule de la duchesse. À la surprise générale, le séducteur mythique accepte ! Éric-Emmanuel Schmitt revisite le célèbre mythe de Don Juan. Reprenant d'anciens traits empruntés à d'autres auteurs, en particulier à Molière, il donne à voir un processus de réécriture et projette son héros dans une situation nouvelle qui renvoie à une quête de spiritualité moderne.
Il sera intéressant d'étudier, dans cette pièce, l'argumentation à travers les scènes de procès ainsi que les moyens dramaturgiques que l'auteur utilise pour faire surgir de nouvelles significations.
Cette nouvelle édition comprend un journal d'écriture sur le thème de l'immigration.
« Je m'appelle Saad Saad, ce qui signifie en arabe Espoir Espoir et en anglais Triste Triste. » Saad veut quitter Bagdad et son chaos, pour gagner l'Europe, la liberté, un avenir. Mais comment franchir les frontières sans un dinar en poche ? Tel Ulysse, il affronte les tempêtes, survit aux naufrages, échappe aux trafiquants d'opium, ignore le chant des sirènes, et doit s'arracher aux enchantements amoureux. Tour à tour absurde, bouffon, dramatique, le voyage sans retour de Saad commence...Eric-Emmanuel Schmitt conjugue habilement politique et magie orientale, raconte un pays en détresse et fait joyeusement revenir et parler les fantômes, mêle tragédie et fantaisie. Donne généreusement à comprendre et à rêver le monde. Fabienne Pascaud, Télérama.
Félix, douze ans, est désespéré. Sa mère, la merveilleuse Fatou, qui tient à Belleville un petit bistrot chaleureux et coloré, est tombée dans une dépression sans remède. Elle qui incarnait le bonheur n'est plus qu'une ombre. Où est passée son âme vagabonde ? Se cache-t-elle en Afrique, près de son village natal ? Pour tenter de la sauver, Félix entreprend un voyage qui le conduira aux sources invisibles du monde.Dans l'esprit de Oscar et la dame rose et de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Eric-Emmanuel Schmitt interroge les mystères de l'animisme, la puissance des croyances et des rites issus d'une pensée spirituelle profondément poétique. Il nous offre aussi un véritable chant d'amour d'un fils pour sa mère.Un roman enlevé, féerique. Franz-Olivier Giesbert, Le Point.Formidablement réconfortant. Yves Viollier, La Vie.Une grande fable animiste. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.
Lorsque j'étais une oeuvre d'art est un livre sans équivalent dans l'histoire de la littérature, même si c'est un roman contemporain sur le contemporain. Il raconte le calvaire d'un homme qui devient son propre corps, un corps refaçonné en oeuvre d'art au mépris de tout respect pour son humanité. Malléable, transformable, il n'est plus qu'un corps sans âme entre les mains d'un esprit diabolique dont le génie tient avant tout à son manque de scrupule.
Les soeurs Barbarin , Mademoiselle Butterfly , La vengeance du pardon , Dessine-moi un avion : Quatre destins, quatre histoires où Éric-Emmanuel Schmitt, avec un redoutable sens du suspense psychologique, explore les sentiments les plus violents et les plus secrets qui gouvernent nos existences. Quand les circonstances de la vie nous ont entraînés dans l'envie, la perversion, l'indifférence ou le crime, comment retrouver notre part d'humanité ? Le pardon offre un chemin non dépourvu d'ambiguïtés...Peut-on être réduit à un seul de ses actes ? Est-il si simple de pardonner ? C'est ce que questionne E.-E. Schmitt tout au long de ces histoires aux retournements implacables. En y répondant avec la virtuosité qu'on lui connaît. Alexandre Fillon, Lire.Une incroyable maestria. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro.Un livre surprenant et peut-être dérangeant qui vous mènera là où vous ne pensiez pas. Christine Lopez, La Croix.
Sauvage, révolté, Jun promène ses quinze ans dans les rues de Tokyo, loin d'une famille dont il refuse de parler. La rencontre surprenante d'un maître du sumo, qui décèle un « gros » en lui malgré son physique efflanqué, va l'entraîner dans la pratique du plus mystérieux des arts martiaux. Avec lui, Jun découvre le monde insoupçonné de la force, de l'intelligence et de l'acceptation de soi. Mais comment atteindre le zen lorsque l'on est dans la douleur et la violence ? Comment devenir sumo quand on ne peut pas grossir ?Après Milarepa, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Oscar et la dame rose, L'Enfant de Noé, meilleures ventes de l'auteur, Eric-Emmanuel Schmitt poursuit Le Cycle de l'Invisible avec ce récit qui mêle enfance et spiritualité, nous conduisant à la source du bouddhisme zen.
«La philosophie prétend expliquer le monde, le théâtre le représenter. Mêlant les deux, j'essaie de réfléchir dramatiquement la condition humaine, d'y déposer l'intimité de mes interrogations, d'y exprimer mon désarroi comme mon espérance, avec l'humour et la légèreté qui tiennent aux paradoxes de notre destinée. Le succès rend humble : ce que je croyais être mon théâtre intime s'est révélé correspondre aux questions de beaucoup de mes contemporains et à leur profond désir de réenchanter la vie.» Eric-Emmanuel Schmitt.
Après La Nuit de feu, Eric-Emmanuel Schmitt poursuit son exploration des mystères spirituels dans un roman troublant, entre suspense et philosophie.
Tout commence par un attentat à la sortie d'une messe. Le narrateur était là. Il a tout vu. Et davantage encore.
Il possède un don unique : voir à travers les visages et percevoir autour de chacun les êtres minuscules - souvenirs, anges ou démons - qui le motivent ou le hantent.
Est-ce un fou ? Un sage qui déchiffre la folie des autres ? Son investigation sur la violence et le sacré va l'amener à la rencontre dont nous rêvons tous...
Eric-Emmanuel Schmitt aurait très bien pu écrire un triste essai sur la place de la foi dans les tourments contemporains mais, généreux, il nous offre un roman loufoque avec son lot de personnages cintrés et ses rebondissements jusqu'à la dernière page. Laurent Bainier, 20 Minutes.
Madame Ming aime parler de ses dix enfants vivant dans divers lieux de l'immense Chine. Fabule-t-elle, au pays qui impose l'enfant unique ? A-t-elle contourné la loi ? Aurait-elle sombré dans une folie douce ? Et si cette progéniture n'était pas imaginaire ? L'incroyable secret de madame Ming rejoint celui de la Chine d'hier et d'aujourd'hui, éclairé par la sagesse immémoriale de Confucius.Dans la veine de Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, d'Oscar et la dame rose ou de L'Enfant de Noé, Les dix enfants que madame Ming n'a jamais eus est le sixième récit du Cycle de l'invisible.
Anne vit à Bruges au temps de la Renaissance, Hanna dans la Vienne impériale de Sigmund Freud, Anny à Hollywood de nos jours. Toutes trois se sentent différentes de leurs contemporaines ; refusant le rôle que leur imposent les hommes, elles cherchent à se rendre maîtresses de leur destin. Trois époques. Trois femmes. Et si c'était la même ?
Julia, Anouchka, Colombe et Raphaëlle sont liées par un pacte d'amitié éternelle. Elles ont seize ans et sont avides de découvrir le grand amour. Chacune tient un journal dans lequel elle livre son impatience, ses désirs, ses conquêtes, ses rêves. Mais comment éviter les désastres affectifs que leurs parents affichent au quotidien ? Hier encore des enfants, les quatre adolescentes tombent dans le piège de cette émotion bouleversante, prêtes à entrer dans le domaine mystérieux de l'amour, cette folie qui peut les transformer. Au lycée, on s'apprête à jouer Roméo et Juliette, tandis qu'un drame, aussi imprévisible et fatal que le dénouement de la pièce, se prépare.
« Le romancier n'en dit-il pas le plus lorsqu'il se pare d'un masque supposé déformant ? » François-Guillaume Lorrain, Le Point.