Extrait : «Ce n'est pas sans une certaine émotion que je commence à raconter ici les aventures extraordinaires de Joseph Rouletabille. Celui-ci, jusqu'à ce jour, s'y était si formellement opposé que j'avais fini par désespérer de ne publier jamais l'histoire policière la plus curieuse de ces quinze dernières années.»
Impression en « gros caractères ». Extrait : Ce soir-là, qui était celui où MM. Debienne et Poligny, les directeurs démissionnaires de l'Opéra, donnaient leur dernière soirée de gala, à l'occasion de leur départ, la loge de la Sorelli, un des premiers sujets de la danse, était subitement envahie par une demi-douzaine de ces demoiselles du corps de ballet qui remontaient de scène après avoir « dansé » Polyeucte.
Impression en « gros caractères ». Extrait : Le navire n'était pas plutôt entré en rade de Callao qu'il était déjà envahi, avant même qu'il eût jeté l'ancre, par une multitude de bateliers criards et tyranniques. Les escaliers, les cabines, les salons furent pleins, en une seconde, de cette engeance matriculée, comme nos commissionnaires, qui avait la prétention d'enlever tous les passagers.
Des événements étranges ont lieu à l'Opéra : le grand lustre s'effondre pendant une représentation, un machiniste est retrouvé pendu. La direction doit se rendre à l'évidence : un fantôme ou un homme machiavélique nommé Erik hante le théâtre. Certains affirment avoir vu le visage déformé de cet être qui ne semblerait pas être humain. Peu après, les directeurs de l'Opéra se voient réclamer 20 000 francs par mois de la part d'un certain « Fantôme de l'Opéra » qui exige aussi que la loge numéro 5 lui soit réservée.Au même moment, une jeune chanteuse orpheline nommée Christine Daaé, recueillie par la femme de son professeur de chant, est appelée à remplacer une diva malade, la Carlotta. Elle incarne une Marguerite éblouissante dans Faust de Gounod. Or, elle est effrayée. Au vicomte Raoul de Chagny, qui est secrètement amoureux d'elle, elle confesse une incroyable histoire. La nuit, une voix mélodieuse l'appelle : elle entend son nom et cela lui suffit pour inspirer son chant. En outre, l'ange de la musique visite fréquemment sa loge. Elle affirme avoir entrevu l'être qui l'accompagne dans son art. Mais Raoul et Christine ne tardent pas à découvrir que cette voix est celle du fameux fantôme nommé Erik, un être au visage hideux. Ancien prestidigitateur, il s'est réfugié dans son royaume souterrain, sous l'Opéra, pour y composer une oeuvre lyrique. Passionnément épris de la jeune Christine, il l'enlève et l'emprisonne dans son repaire des sombres profondeurs.Le grand lustre, gravure de 1875 Raoul de Chagny, aidé d'un mystérieux Persan, se lance à la recherche de la jeune femme. Il doit alors affronter une série de pièges diaboliques conçus par le fantôme, grand maître des illusions. Mais la persévérance du jeune Raoul et le courage de Christine, prête à sacrifier sa vie pour sauver le jeune homme, dont elle aussi est éprise, poussent Erik, le fantôme de l'Opéra, au repentir.
Cette histoire de Gaston Laroux traite d'un fait étrange : L'histoire de quatre alpinistes perdus en plein Jura et qui vont trouver refuge chez un homme qui a signé un pacte avec le diable...
«Quand on veut voir sérieusement le diable, on n'a qu'à l'appeler de tout son coeur, il vient !»
Pour éclaircir l'énigme dans Le Mystère de la chambre jaune, le jeune reporter Rouletabille a voyagé en Amérique où il est remonté aux sources de sa propre enfance et au souvenir de la dame en noir, une belle inconnue au parfum unique qui venait à l'occasion rendre visite au pauvre orphelin qu'il fut jadis.
L'Allemagne du Kaiser Guillaume II s'apprête à déclarer la guerre à la France. Ses services secrets ont gangréné le Nord-Est de la France, de Nancy à Paris d'un réseau d'espions bien organisé et prêt, au moment voulu, à paralyser le pays pour permettre aux armées allemandes d'atteindre la capitale sans coup férir. Mais c'était compter sans Monique, son fils Gérard et Juliette sa fiancée. Et aussi François et toute la Colonne Infernale... qui résoudront, au dépens des Allemands, les mystères du « Faux-Nom » et du dossier H.
Oeuvre de guerre, écrite en 1916 et parue en feuilleton dans Le Matin, La Colonne infernale est indéniablement marquée par un patriotisme exacerbé et une germanophobie qui ne fait pas dans le détail. Mais c'est aussi un des premiers romans d'espionnage francophones où l'art de Gaston Leroux pour l'intrigue, les rebondissements et le mystère emporte son lecteur tout au long de ces huit cents pages.
L'Allemagne du Kaiser Guillaume II s'apprête à déclarer la guerre à la France. Ses services secrets ont gangréné le Nord-Est de la France, de Nancy à Paris d'un réseau d'espions bien organisé et prêt, au moment voulu, à paralyser le pays pour permettre aux armées allemandes d'atteindre la capitale sans coup férir. Mais c'était compter sans Monique, son fils Gérard et Juliette sa fiancée. Et aussi François et toute la Colonne Infernale... qui résoudront, au dépens des Allemands, les mystères du « Faux-Nom » et du dossier H.
Oeuvre de guerre, écrite en 1916 et parue en feuilleton dans Le Matin, La Colonne infernale est indéniablement marquée par un patriotisme exacerbé et une germanophobie qui ne fait pas dans le détail. Mais c'est aussi un des premiers romans d'espionnage francophones où l'art de Gaston Leroux pour l'intrigue, les rebondissements et le mystère emporte son lecteur tout au long de ces huit cents pages.
L'Allemagne du Kaiser Guillaume II s'apprête à déclarer la guerre à la France. Ses services secrets ont gangréné le Nord-Est de la France, de Nancy à Paris d'un réseau d'espions bien organisé et prêt, au moment voulu, à paralyser le pays pour permettre aux armées allemandes d'atteindre la capitale sans coup férir. Mais c'était compter sans Monique, son fils Gérard et Juliette sa fiancée. Et aussi François et toute la Colonne Infernale... qui résoudront, au dépens des Allemands, les mystères du « Faux-Nom » et du dossier H.
Oeuvre de guerre, écrite en 1916 et parue en feuilleton dans Le Matin, La Colonne infernale est indéniablement marquée par un patriotisme exacerbé et une germanophobie qui ne fait pas dans le détail. Mais c'est aussi un des premiers romans d'espionnage francophones où l'art de Gaston Leroux pour l'intrigue, les rebondissements et le mystère emporte son lecteur tout au long de ces huit cents pages.
Extrait : «La vérité est qu'il font les deux choses à la fois. Ils veulent atteindre avant d'être atteints !... - En avant ! en avant ! crie Rouletabille. Que fait donc, «entre deux feux», le jeune reporter de l'Epoque et quelle est cette sorte de rage qui l'anime ?»