Le grand succès de ce roman tient, au-delà de son intrigue, aux quelques éléments surréalistes et poétiques, qui feront notamment l'admiration de Jean Cocteau qui en signera la préface.
La porte de la chambre fermée à clef "à l'intérieur", les volets de l'unique fenêtre fermés, eux aussi "à l'intérieur", pas de cheminée. Qui a tenté de tuer Mlle Stangerson et, surtout, par où l'assassin a-t-il pu fuir de la chambre jaune ? C'est le jeune reporter Rouletabille, limier surdoué et raisonnant par "le bon bout de la raison", qui va trouver la solution de cet affolant problème.
C'est un roman construit sur une enquête et donc sur la recherche de la vérité.
Une phrase mystérieuse dans le roman " Le presbytère n'a rien perdu de son charme, ni le jardin de son éclat " prendra rapidement pour les amateurs le statut de citation culte.
Des événements étranges ont lieu à l'Opéra : le grand lustre s'effondre pendant une représentation, un machiniste est retrouvé pendu. La direction doit se rendre à l'évidence : un fantôme ou un homme machiavélique hante le théâtre.
Certains affirment avoir vu le visage déformé de cet être qui ne semblerait pas être humain. Peu après, les directeurs de l'Opéra se voient réclamer 20 000 francs par mois et une loge de la part d'un certain « Fantôme de l'Opéra »...
Le « Fantôme de l'Opéra » est un chef d'oeuvre de la littérature qui a suscité un grand nombre d'adaptations, notamment plusieurs films et une comédie musicale à succès à Broadway.
Véritable pièce radiophonique interprétée par 6 comédiens.
Ce roman est la suite du "Mystère de la chambre jaune". Joseph Rouletabille est hanté par une femme qui venait le visiter, enfant, au pensionnat et dont il conserve le souvenir obsédant du parfum. Tandis qu'il s'en ouvre à Sinclair, son fidèle acolyte, il apprend que son amie Mathilde Stangerson convolant en voyage de noces avec son mari Robert Darzac, est en danger. Il s'empresse de la rejoindre, craignant le retour de l'illusionniste et intrépide Ballmeyer.
Un classique de la littérature : un style brillant, des personnages attachants, une intrigue prenante. Un des chefs d'oeuvre de Gaston Leroux adapté à 6 reprises au cinéma.
Rouletabille est en Bulgarie pour couvrir la guerre des Balkans, en compagnie de son collègue La Candeur et de son interprète Vladimir. Il y retrouve la belle Ivana, qu'il a connue à Paris, et qui se dit menacée par un certain Gaulow. Notre héros apprend bientôt que Gaulow a dérobé les plans secrets de mobilisation. Il part donc avec ses amis pour le repaire du méchant, le Château noir...
Toujours la suite des aventures de Joseph Rouletabille.
Le Tsar de toutes les Russies est menacé par des empoisonneurs et des assassins invisibles, qui semblent le cerner sans cesse et s'en prennent à son entourage. Pour déjouer cette étrange machination, il n'y a que le plus célèbre et le plus malin des reporters : Rouletabille!