Vous rêvez d'un arbre accessible et facile à montrer, mais sans pour autant l'afficher sur un mur ?
Ce très bel arbre relié est la réponse idéale :
- il se range dans votre bibliothèque. Comme un livre, il s'attrape d'un geste et se déploie de façon simple- il s'articule autour d'un personnage central (vous-même, ou bien l'un de vos parents ou de vos grands-parents, selon votre choix) dont vous notez le nom sur la couverture et sur le dos du livre (le repérage reste facile dans votre bibliothèque, même si vous avez rempli plusieurs arbres reliés).
- il permet d'en noter la descendance (deux générations au-dessous : enfants et petits-enfants) et l'ascendance (quatre générations au-dessus, jusqu'aux arrière-arrière-grands-parents), donnant une vision synthétique de sept générations sur environ deux siècles- il peut être aisément rempli à la main ou par des étiquettes autocollantes à imprimer chez vous.
- il offre au verso de l'arbre un espace de rédaction pour des compléments et des histoires de vie - une pochette intérieure permet d'y associer des photos, des faire-part, des lettres, des documents familiaux divers : un partage de souvenirs facilité lorsque vous montrez l'arbre à un proche (pas besoin de fouiller vos tiroirs ou d'allumer votre ordinateur : les documents les plus précieux sont là).
À travers les actes notariés se dessine le portrait de l'ancêtre, avec sa position sociale et son évolution, sa bonne ou mauvaise entente avec ses enfants ou ses voisins, la façon dont il a aménagé sa maison, la couleur des robes de son épouse, le nombre et le degré d'usure de ses casseroles, ses outils, les titres des livres qu'il a lus...
Les documents des notaires constituent aussi de précieuses sources de remplacement pour remonter un arbre généalogique dans les régions où l'état civil a été largement détruit par les bombardements des dernières guerres. Ils sont utiles voire indispensables si vous perdez la piste d'une filiation. Des archives incontournables, mais encore faut-il savoir se repérer dans les fonds notariés et dans ceux qui peuvent en faciliter l'accès. Un guide pas à pas est nécessaire. Cette 3e édition tient compte des numérisations et indexations Internet et apporte de nouveaux exemples de recherche.
Couteliers, tisserands, dentellières, scieurs de long, bergers, terre-neuvas, cabaretiers... autant de métiers qui n'ont plus cours aujourd'hui ou qui ne se pratiquent plus de la même façon. Nous pouvons cependant retrouver ces professions dans nos arbres, exercées par un aïeul plus ou moins lointain.
Or la généalogie nous rend curieux de tout : elle nous donne envie de découvrir l'histoire de ces métiers, mais aussi d'apprendre de façon plus individuelle et familiale de quelle façon l'ancêtre l'a pratiqué, d'accéder parfois à des dossiers de carrière, de reconstituer son parcours professionnel...
Avec l'essor de la généalogie, les bases de données thématiques se sont multipliées, les centres ont ouverts plus largement leurs archives aux chercheurs et aux historiens des familles. Il est désormais tout à fait possible de découvrir des éléments précis sur la vie professionnelle de vos ancêtres eux-mêmes et pas seulement sur leur profession en général. Ce dictionnaire est fait pour vous.
On croit connaître le nom et le prénom de son arrière grand-père, soldat tué en 1915, mais on ne le retrouve pourtant pas dans les listes de morts pour la France.
On tient pour acquis le patronyme que l'on porte mais on ne le repère pas dans les tables décennales du XIXe siècle...
En généalogie, lorsqu'on remonte le temps, les noms et les prénoms peuvent jouer des tours auxquels on ne s'attend pas et la recherche s'en trouve compliquée.
Ceux qui débutent en généalogie ignorent souvent que, jusqu'à l'entre-deux-guerres, beaucoup de nos aïeux ne portaient pas comme prénom usuel celui de l'état civil. Ils ignorent aussi que, dans de nombreuses régions, par exemple la Normandie, c'était le dernier prénom de l'état civil (et pas le premier comme aujourd'hui) qui était utilisé au quotidien. Ainsi, votre arrière grand-père, enregistré à l'état civil sous les prénoms de Marie-Louis-Victor, n'a peut-être été connu dans la famille que comme Victor ou comme Ernest ! Cette nouvelle édition détaille davantage tous les pièges que les prénoms peuvent poser.
Quant aux noms de famille, leur orthographe s'est figée en 1877, avec l'apparition du livret de famille. Plus vous remonterez votre arbre généalogique, plus vous trouverez de variantes orthographiques. Phonétiquement, le nom restait le même... à quelques exceptions près. Car certaines époques avaient l'habitude de traduire les patronymes, certaines régions celles de prononcer différemment certaines syllabes, ce qui entrainait des transformations des noms lors des déplacements des familles.
D'où l'utilité de ce guide pratique pour lever bien des blocages.
Il n'y a pas une raison de faire de la généalogie, il y en a mille. Ce manuel part de vos souhaits et vous indique comment retracer votre histoire familiale le plus haut possible dans le temps, sur Internet ou en archives.
Il explique comment aller au-delà des noms et des dates en retrouvant les histoires de vie. Il vous donne des idées, des projets à bâtir, des secrets à explorer et des pistes inattendues. Il porte une centaine de témoignages de passionnés, tous différents, pour montrer combien la généalogie est vivante, dynamique et foisonnante. Enfin, il raconte de belles trouvailles d'archives, parce que les sagas familiales réservent toujours des surprises.
L'aventure généalogique rassemble toutes les générations et ne demande que du temps. Elle peut se pratiquer seul ou à plusieurs, avec ou sans budget, sur place ou à distance, pour la plupart des pays du monde, par tous les temps et quel que soit votre âge. L'histoire familiale, celle d'un lointain passé oublié, dort dans les archives. Elle n'attend qu'un chercheur pour renaître et un conteur pour se déployer. Ce manuel, le plus complet qu'on puisse trouver, ouvre les portes du passé.
En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu'il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d'achat ou de revente... Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d'acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ?
Le cadastre offre une vue synthétique qui s'inscrit dans la durée, à l'inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis, mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels.
Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C'est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l'histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez, ou qu'elle a appartenu à un aïeul.
Car il vous la montre sur deux plans à plus d'un siècle d'écart, et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications.
Enfin, le fonds des hypothèques, complexe mais riche d'informations, permet de prolonger la recherche vers les documents notariés ou judiciaires, et d'obtenir la description précise des biens. Il est aussi un outil précieux pour une cousinade car il fournit les dates et lieux de naissance, parfois de décès, et d'habitation des descendants, si des terres sont restées dans la famille.
Cette édition augmentée complète la démarche avec de nouveaux exemples, les dernières mises à jour Internet et des informations complémentaires sur le cadastre rénové des années 1930.
En 1900, il y avait en France davantage de domestiques que de fonctionnaires. Le mot salarié lui-même était associé à l'idée de domesticité. Les familles qui employaient ces hommes et ces femmes n'ont souvent gardé d'eux que le souvenir de leurs prénoms. Et les descendants des nounous, jardiniers, chauffeurs, gens de maison... connaissent parfois mieux le nom des anciens maîtres que le parcours de vie de leurs propres aïeux.
Pourtant, des pistes généalogiques existent, des informations biographiques peuvent être retrouvées aussi bien en archives que dans la presse ancienne. Le guide explique comment et propose des solutions nouvelles aux difficultés posées par les recherches familiales sur ces ancêtres oubliés, effacés par une vie passée au service des autres. Des expériences et des exemples nombreux guident pas à pas les lecteurs.
L'ouvrage fait aussi la part belle aux récits, parce que le statut de domestique n'est pas homogène : le mot recouvre un éventail très large de situations, depuis celle du jeune domestique agricole, orphelin sans défense qu'on loge dans le fenil, jusqu'à celle de la gouvernante anglaise quasi adoptée par la famille. Les différents statuts sont racontés, à mi-chemin entre l'histoire, la sociologie et la généalogie.
Pour découvrir un univers professionnel méconnu et retracer en archives la vie de ces ancêtres oubliés...
Puisqu'ils représentaient 70?% de la population au XVIIIe siècle, nous avons tous des paysans dans nos ancêtres. Pourtant, les amateurs de généalogie et d'histoire familiale ne gardent souvent d'eux que les éléments d'état civil, rien de plus. Si des anecdotes sur la ferme familiale ou les conditions de travail sont mémorisées, c'est parce que les générations qui travaillaient la terre sont encore proches et que des souvenirs ont été transmis oralement.
L'univers paysan fait d'autant moins l'objet de recherches familiales qu'il nous semble connu. Il s'est pourtant radicalement transformé au cours du XXe siècle, des modes de vie et d'exploitation multiséculaire ont disparu. Il est perçu comme monolithique, alors qu'il existait une multitude de statuts et de parcours individuels. Enfin, il semble pauvre en archives, alors que c'est une erreur.
Avec l'engouement actuel pour la généalogie et le déracinement des populations, désormais urbaines, ce guide était indispensable. Il vous permet de redécouvrir et mieux comprendre ce monde rural d'hier. Il vous donne en même temps les démarches pratiques de recherches en archives : comment localiser la ferme ancestrale et retrouver son histoire, comment reconstituer la vie et les soucis de vos ancêtres paysans... pour un beau voyage familial dans l'espace et le temps et un retour virtuel à la terre !
Vous venez de déménager dans une maison ancienne et vous voulez en savoir plus sur son passé ? Vous gardez la nostalgie d'enfance de la maison des grands-parents où vous passiez vos vacances, maison détruite par les bombardements de la dernière guerre ou les travaux urbains des années 1960 et vous voudriez retrouver des souvenirs de ce passé effacé ? Vous souhaitez localiser le domicile de votre arrière grand-père, parce qu'il était le premier à s'être installé dans votre région vers 1910 ? ou celui d'un ancêtre laboureur du XVIIIe siècle pour étoffer votre généalogie ? Vous avez la responsabilité d'un bulletin municipal ou d'histoire locale et vous désirez publier le passé d'une boutique traditionnelle, d'une demeure ancienne, d'un bâtiment lié à un évènement historique ou à un fait divers ?... Retracer le passé d'une maison devient une quête multiforme de plus en plus fréquente.
Auteur de plusieurs guides de recherche sur le cadastre, les fonds hypothécaires et les archives notariées, Marie-Odile Mergnac indique ici la démarche à suivre, d'aujourd'hui à l'Ancien Régime. Elle explique d'abord comment trouver des photos, des cartes, des plans car rien n'est plus émouvant que de suivre visuellement les évolutions de la maison étudiée. Puis elle indique comment découvrir les noms des propriétaires et des occupants successifs. Elle précise enfin comment obtenir des descriptions des pièces intérieures et de leur aménagement, quel que soit le siècle.
Alors ? Prêt à vous loger dans le passé ? Ce livre est fait pour vous.
Les orphelins étaient nombreux autrefois, car l'espérance de vie n'était pas très longue. Que devenaient les enfants à la mort des parents ? Ce guide indique les démarches à suivre pas à pas en archives, pour toutes les catégories de tutelle : les orphelins sous tutelle familiale, les pupilles de la nation, les enfants retirés à leurs parents, mais aussi ceux adoptés à l'âge adulte. Une dernière partie aborde les adultes mis sous tutelle à la demande de leurs proches. Pour découvrir en archives de quoi en finir avec certains secrets de famille.
En généalogie, rien n'est plus précieux qu'un acte de mariage puisqu'on y trouve mentionnés les parents des deux mariés : quatre ancêtres nouveaux d'un coup ! S'il n'est pas retrouvé, la remontée dans l'arbre se fait plus lente : le généalogiste doit bâtir des hypothèses, recouper, supputer, confirmer... Le détour par les archives notariées peut alors s'avérer utile, puisque, sous l'Ancien Régime, même les couples sans le sou passaient contrat devant notaire. Mais il existe d'autres documents riches d'informations : les sommations respectueuses qu'adressent les enfants majeurs aux parents refusant leur union ; les archives liées aux cas particuliers que sont les mariages de rosières, de militaires à la fin de l'Empire, d'officiers ou de quelques curés sous la Révolution ; celles des divorces, qui fournissent le pourquoi de la rupture ; les dispenses de mariage, qui peuvent livrer trois ou quatre générations d'un seul coup en même temps que les motifs personnels à l'origine de la demande... Ce livre permet précisément d'explorer toutes les pistes d'archives qui s'offrent à vous. Pas à pas, sur chacun de ces thèmes liés au mariage, il indique la démarche, les cotes, les lieux de recherche, avec des exemples concrets. Cette troisième édition augmentée complète utilement la démarche avec les derniers outils Internet, pour que ces documents généalogiques ne puissent plus vous échapper.
En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu'il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d'achat ou de revente... Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d'acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ?
Le cadastre offre une vue synthétique qui s'inscrit dans la durée, à l'inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis, mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels.
Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C'est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l'histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez, ou qu'elle a appartenu à un aïeul.
Car il vous la montre sur deux plans à plus d'un siècle d'écart, et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications.
Enfin, le fonds des hypothèques, complexe mais riche d'informations, permet de prolonger la recherche vers les documents notariés ou judiciaires, et d'obtenir la description précise des biens. Il est aussi un outil précieux pour une cousinade car il fournit les dates et lieux de naissance, parfois de décès, et d'habitation des descendants, si des terres sont restées dans la famille.
Cette édition augmentée complète la démarche avec de nouveaux exemples, les dernières mises à jour Internet et des informations complémentaires sur le cadastre rénové des années 1930.
En généalogie, on commence par collecter des noms, des dates, des lieux.
Puis on veut découvrir le quotidien de ses ancêtres. S'ils ont été enseignants, la recherche est plus facile que pour d'autres professions, tant les fonds d'archives sont nombreux... et tant l'endogamie est fréquente : le généalogiste n'entame pas des travaux pour une seule personne mais souvent pour plusieurs.
« Entrée à dix-sept ans à l'ENI de Poitiers, raconte une normalienne de la promotion 1931-1934, j'ai suivi la même voie que 25 membres de ma famille. Mon grand-père paternel avait commencé sa carrière de maître d'école en 1870 ».
Les fonds d'archives vous livreront ses notes et ses diplômes, même si sa scolarité remonte au milieu du XIXe siècle, jusqu'à son départ à la retraite, en passant par ses démêlés éventuels avec l'inspection, la mairie, les parents d'élèves...
Vous lirez les commentaires de la hiérarchie académique sur ses qualités d'enseignant et vous constaterez que les inspecteurs ont souvent la dent dure (« Peu intelligent et d'une présomption en rapport inverse de sa valeur » en 1871). Vous découvrirez le nombre d'élèves à sa charge ("Convient-il de laisser plus longtemps 90 espiègles sous la direction d'un seul maître ? » en 1875), la description de son logement, ses décorations ou ses blâmes et bien d'autres choses encore.
Thème par thème, le guide vous indique où chercher et comment.
Un outil indispensable en salle d'archives, pour tous les historiens de leur famille.
En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu'il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d'achat ou de revente... Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d'acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ? Le cadastre offre une vue synthétique qui s'inscrit dans la durée, à l'inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis, mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels.
Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C'est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l'histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez, ou qu'elle a appartenu à un aïeul. Car il vous la montre sur deux plans à plus d'un siècle d'écart, et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications.
Par ailleurs, si l'état civil de la commune où vivaient vos ancêtres a été détruit, le cadastre constitue alors une clé d'entrée rapide vers les fonds des hypothèques, qui fournit souvent des dates et lieux de naissance, parfois de décès, ainsi que les adresses des descendants si les propriétés sont restées dans la famille.
épicier dans le Limousin ? tonnelier en Alsace ? colporteur en Ariège ? boulanger dans son village ? Qu'il ait eu une activité modeste ou employé des dizaines de salariés, vous pouvez en apprendre beaucoup sur son activité à travers les fonds documentaires du XIXe siècle et du début du XXe siècle.
Les archives des tribunaux de commerce sont particulièrement intéressantes. Jusqu'ici peu explorées par les généalogistes, elles sont conservées aux archives départementales. Elles détiennent les actes liés à la création ou à la disparition des activités artisanales ou commerciales. Vous y trouverez des informations personnelles sur votre aïeul et son niveau de vie, sur les modèles de ses publicités ou de sa marque, sur ses déboires avec ses actionnaires ou sa famille, ainsi que des dossiers complets sur les statuts, les cessions, les litiges, les difficultés rencontrées, voire les faillites.
D'autres fonds d'archives offrent des photographies ou des descriptions détaillées de la boutique, de l'échoppe ou de l'usine, le détail des brevets déposés, le nombre d'apprentis éventuels et les modalités de leurs contrats d'apprentissage. Un guide était nécessaire pour faire découvrir au généalogiste amateur ces sources moins fréquemment consultées mais disponibles à portée de main dans nos départements.
Thème par thème, il vous indique où chercher et comment. Un outil indispensable en salle d'archives, pour tous les historiens de leur famille.
Les métiers d'hier étaient ceux du geste. Du geste longuement appris dans certains cas, à travers un savoir manuel transmis de génération en génération.
Du geste facile à acquérir dans d'autres, quand la misère était là et qu'il fallait gagner de quoi vivre et le gagner vite. Dans tous les cas, ce geste était reconnaissable et indissociable d'un métier précis.
Ces métiers d'hier s'inscrivaient en même temps dans un cadre communautaire, celui du village ou du quartier. On n'achetait pas un produit anonyme dans un supermarché. La vaisselle, les textiles, les cuirs, les légumes, les fruits venaient de chez le voisin, artisan ou producteur local ; le cantonnier était connu de tous ; le tueur de cochon, le bouilleur de cru, le ramoneur, le rémouleur... étaient réclamés une fois par an.
Avant que ces métiers ou leur souvenir ne disparaissent, ce beau livre veut leur rendre hommage. Avec plus de six cents photos et illustrations, il raconte leur histoire et donne le vocabulaire précis de chaque profession. Il apporte les témoignages de ceux qui l'ont pratiqué ou de leurs enfants. Il fait revivre pour nous les émotions, les gestes, les bons moments et les difficultés...
On ne choisit ni son prénom ni son nom de famille, on les reçoit. Mais si le prénom vient au monde avec nous, le nom est vieux de 800 ans. Il nous rattache à une histoire familiale, à des récits des origines parfois fantasmés, il est plus ou moins facile à porter... Dans tous les cas, les patronymes ont un sens précis, ils ne sont pas de simples associations de sonorités.?Ce sens nous semble parfois limpide (Petit, Legrand, Meunier...), mais peut être trompeur ou indéchiffrable au premier coup d'oeil. Comment faire alors pour trouver la signification? Cet Atlas des noms de famille fournit des cartes de localisation et l'étymologie des noms les plus portés ou les plus connus. Surtout, il explique comment les patronymes se sont formés, quelles sont leurs caractéristiques régionales, leurs déformations orthographiques au fil des siècles, combien de noms se sont déjà éteints ou vont prochainement disparaître, comment ils migrent, comment il faut les analyser pour les comprendre... le tout avec des centaines d'anecdotes sur les noms les plus incroyables, les transformations les plus inattendues, les traductions pratiquées autrefois près des frontières, les changements de noms demandés, les patronymes qui sont devenus des prénoms ou bien des noms communs, les mythes les plus fréquents, notamment autour des noms nobles et de la particule... jusqu'à la façon dont chacun d'entre nous peut vivre, bien ou mal, avec le nom qu'il a reçu... Bref, le curieux découvrira avec plaisir et amusement les subtilités des patronymes, tandis que le chercheur qui veut étudier la signification du sien découvrira comment faire.
Ce dictionnaire original fournit sur les noms de famille des informations qui n'étaient jusqu'ici présentes ou rassemblées dans aucun autre livre : c'est une véritable plongée dans l'univers de chaque nom étudié.
Le dictionnaire donne ainsi : la carte actuelle de répartition, département par département, du nom de famille étudié, avec le nombre total de porteurs du nom aujourd'hui en France ; l'étymologie du nom, reflet du prénom, du métier, de l'origine ou de l'habitat des toutes premières personnes qui l'ont porté ; les anecdotes, les histoires les plus marquantes qui peuvent avoir été liées à ce nom au cours des siècles ; les vingt à trente personnages majeurs qui ont porté ce nom et quelques uns des contemporains les plus marquants...
Une façon saisissante de réaliser que certains noms sont indissociablement liés à des métiers ou à des talents bien précis ; les noms dérivés ou noms de même étymologie, associés au nom principal mais moins courants, cités chacun avec leur nombre de porteurs et leur département de plus forte implantation. Réalisé par un collectif d'historiens, l'ouvrage permet toutes les lectures : celle du démographe ou du généalogiste comme celle du curieux et du plus large public.
Voici en récits et en images tout le quotidien d'un métier, d'hier à aujourd'hui. Du maître d'école des années 1800 au normalien de Jules Ferry, le fameux hussard noir à la vie monacale, à la fois instituteur et secrétaire de mairie, qui se veut un exemple pour la population, jusqu'au tout jeune professeur des écoles, passé par l'IUFM ou non, confronté à des élèves plus remuants... L'ouvrage aborde dans le détail la formation des instituteurs et son évolution : le trousseau demandé autrefois, le règlement intérieur des écoles normales, les motivations et les résultats... Il raconte ensuite le quotidien des maîtres appelés désormais professeurs des écoles, depuis leur premier jour de classe jusqu'à l'année de leur départ à la retraite. Les exemples fournis sur les méthodes d'enseignement, le logement, l'inscription des élèves et leur nombre, le rythme scolaire, les fêtes de fin d'année ou les inspections redoutées vont permettre aux instituteurs ou aux institutrices de retrouver à la fois ce qu'ils ont connu ou ce qu'ils vivent et l'histoire du métier. Voici donc un livre à offrir aussi bien à l'instituteur de vos enfants qu'à l'ami ou au cousin qui veut consacrer sa vie à l'éducation des petits. À offrir aussi à tous les anciens écoliers qui souhaitent, pendant quelques pages, se retrouver de l'autre côté de l'estrade...
Les recensements ont longtemps fait partie des documents d'archives que le généalogiste consultait peu, car leur exploration s'avérait fastidieuse pour les communes importantes.
Les indexations réalisées par Filae, ajoutées aux projets collaboratifs lancés sur ce thème par Geneanet, des associations ou d'autres portails, ont simplifié leur accès et bouleversé les modalités de recherches. Vous avez perdu la trace de vos ancêtres et vous ne savez pas de quelle localité ils sont originaires ? Vous voulez savoir avec qui vivait votre arrière-grand-mère qui a eu un enfant sans être mariée ? Vous ne savez pas chez qui s'était placé votre arrière-grand-oncle avant son service militaire ? Vous voulez connaître le nombre de domestiques de votre riche aïeul ?... Vous obtiendrez désormais assez facilement les réponses. Et si tout n'est pas encore indexé et accessible par Internet, ce guide pratique vous accompagne pas à pas dans la démarche de recherche traditionnelle.
Il est souvent répété que les recensements nominatifs ne commencent qu'en 1926 à Paris et en 1836 dans le reste de la France. C'est faux, il en existe bien plus tôt, y compris sous l'Ancien Régime, mais, avant ces dates, il n'y en a pas deux semblables. La recherche en archives s'apparente sur ces périodes à l'ouverture d'une pochette surprise : les documents peuvent manquer, n'apporter que de maigres éléments ou une meilleure moisson d'informations que les meilleurs recensements du XXe siècle. À Paris, des sources de substitution couvrent la période 1852-1900.
La dernière partie de l'ouvrage aborde les recensements qu'il est possible de trouver pour de nombreux pays étrangers, sur place ou à distance.