Vous rêvez d'un arbre accessible et facile à montrer, mais sans pour autant l'afficher sur un mur ?
Ce très bel arbre relié est la réponse idéale :
- il se range dans votre bibliothèque. Comme un livre, il s'attrape d'un geste et se déploie de façon simple- il s'articule autour d'un personnage central (vous-même, ou bien l'un de vos parents ou de vos grands-parents, selon votre choix) dont vous notez le nom sur la couverture et sur le dos du livre (le repérage reste facile dans votre bibliothèque, même si vous avez rempli plusieurs arbres reliés).
- il permet d'en noter la descendance (deux générations au-dessous : enfants et petits-enfants) et l'ascendance (quatre générations au-dessus, jusqu'aux arrière-arrière-grands-parents), donnant une vision synthétique de sept générations sur environ deux siècles- il peut être aisément rempli à la main ou par des étiquettes autocollantes à imprimer chez vous.
- il offre au verso de l'arbre un espace de rédaction pour des compléments et des histoires de vie - une pochette intérieure permet d'y associer des photos, des faire-part, des lettres, des documents familiaux divers : un partage de souvenirs facilité lorsque vous montrez l'arbre à un proche (pas besoin de fouiller vos tiroirs ou d'allumer votre ordinateur : les documents les plus précieux sont là).
À travers les actes notariés se dessine le portrait de l'ancêtre, avec sa position sociale et son évolution, sa bonne ou mauvaise entente avec ses enfants ou ses voisins, la façon dont il a aménagé sa maison, la couleur des robes de son épouse, le nombre et le degré d'usure de ses casseroles, ses outils, les titres des livres qu'il a lus...
Les documents des notaires constituent aussi de précieuses sources de remplacement pour remonter un arbre généalogique dans les régions où l'état civil a été largement détruit par les bombardements des dernières guerres. Ils sont utiles voire indispensables si vous perdez la piste d'une filiation. Des archives incontournables, mais encore faut-il savoir se repérer dans les fonds notariés et dans ceux qui peuvent en faciliter l'accès. Un guide pas à pas est nécessaire. Cette 3e édition tient compte des numérisations et indexations Internet et apporte de nouveaux exemples de recherche.
Couteliers, tisserands, dentellières, scieurs de long, bergers, terre-neuvas, cabaretiers... autant de métiers qui n'ont plus cours aujourd'hui ou qui ne se pratiquent plus de la même façon. Nous pouvons cependant retrouver ces professions dans nos arbres, exercées par un aïeul plus ou moins lointain.
Or la généalogie nous rend curieux de tout : elle nous donne envie de découvrir l'histoire de ces métiers, mais aussi d'apprendre de façon plus individuelle et familiale de quelle façon l'ancêtre l'a pratiqué, d'accéder parfois à des dossiers de carrière, de reconstituer son parcours professionnel...
Avec l'essor de la généalogie, les bases de données thématiques se sont multipliées, les centres ont ouverts plus largement leurs archives aux chercheurs et aux historiens des familles. Il est désormais tout à fait possible de découvrir des éléments précis sur la vie professionnelle de vos ancêtres eux-mêmes et pas seulement sur leur profession en général. Ce dictionnaire est fait pour vous.
On croit connaître le nom et le prénom de son arrière grand-père, soldat tué en 1915, mais on ne le retrouve pourtant pas dans les listes de morts pour la France.
On tient pour acquis le patronyme que l'on porte mais on ne le repère pas dans les tables décennales du XIXe siècle...
En généalogie, lorsqu'on remonte le temps, les noms et les prénoms peuvent jouer des tours auxquels on ne s'attend pas et la recherche s'en trouve compliquée.
Ceux qui débutent en généalogie ignorent souvent que, jusqu'à l'entre-deux-guerres, beaucoup de nos aïeux ne portaient pas comme prénom usuel celui de l'état civil. Ils ignorent aussi que, dans de nombreuses régions, par exemple la Normandie, c'était le dernier prénom de l'état civil (et pas le premier comme aujourd'hui) qui était utilisé au quotidien. Ainsi, votre arrière grand-père, enregistré à l'état civil sous les prénoms de Marie-Louis-Victor, n'a peut-être été connu dans la famille que comme Victor ou comme Ernest ! Cette nouvelle édition détaille davantage tous les pièges que les prénoms peuvent poser.
Quant aux noms de famille, leur orthographe s'est figée en 1877, avec l'apparition du livret de famille. Plus vous remonterez votre arbre généalogique, plus vous trouverez de variantes orthographiques. Phonétiquement, le nom restait le même... à quelques exceptions près. Car certaines époques avaient l'habitude de traduire les patronymes, certaines régions celles de prononcer différemment certaines syllabes, ce qui entrainait des transformations des noms lors des déplacements des familles.
D'où l'utilité de ce guide pratique pour lever bien des blocages.
Il n'y a pas une raison de faire de la généalogie, il y en a mille. Ce manuel part de vos souhaits et vous indique comment retracer votre histoire familiale le plus haut possible dans le temps, sur Internet ou en archives.
Il explique comment aller au-delà des noms et des dates en retrouvant les histoires de vie. Il vous donne des idées, des projets à bâtir, des secrets à explorer et des pistes inattendues. Il porte une centaine de témoignages de passionnés, tous différents, pour montrer combien la généalogie est vivante, dynamique et foisonnante. Enfin, il raconte de belles trouvailles d'archives, parce que les sagas familiales réservent toujours des surprises.
L'aventure généalogique rassemble toutes les générations et ne demande que du temps. Elle peut se pratiquer seul ou à plusieurs, avec ou sans budget, sur place ou à distance, pour la plupart des pays du monde, par tous les temps et quel que soit votre âge. L'histoire familiale, celle d'un lointain passé oublié, dort dans les archives. Elle n'attend qu'un chercheur pour renaître et un conteur pour se déployer. Ce manuel, le plus complet qu'on puisse trouver, ouvre les portes du passé.
En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu'il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d'achat ou de revente... Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d'acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ?
Le cadastre offre une vue synthétique qui s'inscrit dans la durée, à l'inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis, mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels.
Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C'est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l'histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez, ou qu'elle a appartenu à un aïeul.
Car il vous la montre sur deux plans à plus d'un siècle d'écart, et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications.
Enfin, le fonds des hypothèques, complexe mais riche d'informations, permet de prolonger la recherche vers les documents notariés ou judiciaires, et d'obtenir la description précise des biens. Il est aussi un outil précieux pour une cousinade car il fournit les dates et lieux de naissance, parfois de décès, et d'habitation des descendants, si des terres sont restées dans la famille.
Cette édition augmentée complète la démarche avec de nouveaux exemples, les dernières mises à jour Internet et des informations complémentaires sur le cadastre rénové des années 1930.
En 1900, il y avait en France davantage de domestiques que de fonctionnaires. Le mot salarié lui-même était associé à l'idée de domesticité. Les familles qui employaient ces hommes et ces femmes n'ont souvent gardé d'eux que le souvenir de leurs prénoms. Et les descendants des nounous, jardiniers, chauffeurs, gens de maison... connaissent parfois mieux le nom des anciens maîtres que le parcours de vie de leurs propres aïeux.
Pourtant, des pistes généalogiques existent, des informations biographiques peuvent être retrouvées aussi bien en archives que dans la presse ancienne. Le guide explique comment et propose des solutions nouvelles aux difficultés posées par les recherches familiales sur ces ancêtres oubliés, effacés par une vie passée au service des autres. Des expériences et des exemples nombreux guident pas à pas les lecteurs.
L'ouvrage fait aussi la part belle aux récits, parce que le statut de domestique n'est pas homogène : le mot recouvre un éventail très large de situations, depuis celle du jeune domestique agricole, orphelin sans défense qu'on loge dans le fenil, jusqu'à celle de la gouvernante anglaise quasi adoptée par la famille. Les différents statuts sont racontés, à mi-chemin entre l'histoire, la sociologie et la généalogie.
Pour découvrir un univers professionnel méconnu et retracer en archives la vie de ces ancêtres oubliés...
Vous venez de déménager dans une maison ancienne et vous voulez en savoir plus sur son passé ? Vous gardez la nostalgie d'enfance de la maison des grands-parents où vous passiez vos vacances, maison détruite par les bombardements de la dernière guerre ou les travaux urbains des années 1960 et vous voudriez retrouver des souvenirs de ce passé effacé ? Vous souhaitez localiser le domicile de votre arrière grand-père, parce qu'il était le premier à s'être installé dans votre région vers 1910 ? ou celui d'un ancêtre laboureur du XVIIIe siècle pour étoffer votre généalogie ? Vous avez la responsabilité d'un bulletin municipal ou d'histoire locale et vous désirez publier le passé d'une boutique traditionnelle, d'une demeure ancienne, d'un bâtiment lié à un évènement historique ou à un fait divers ?... Retracer le passé d'une maison devient une quête multiforme de plus en plus fréquente.
Auteur de plusieurs guides de recherche sur le cadastre, les fonds hypothécaires et les archives notariées, Marie-Odile Mergnac indique ici la démarche à suivre, d'aujourd'hui à l'Ancien Régime. Elle explique d'abord comment trouver des photos, des cartes, des plans car rien n'est plus émouvant que de suivre visuellement les évolutions de la maison étudiée. Puis elle indique comment découvrir les noms des propriétaires et des occupants successifs. Elle précise enfin comment obtenir des descriptions des pièces intérieures et de leur aménagement, quel que soit le siècle.
Alors ? Prêt à vous loger dans le passé ? Ce livre est fait pour vous.
Malika, Céleste, Gabin, Philippe à l'heure de la liberté totale de choix du prénom, cet ouvrage présente les prénoms les plus aimés des Français depuis 1900. Certains existent depuis des millénaires, comme Michel, et font toujours partie de nos prénoms préférés, d'autres sont des créations neuves, comme Ilan, apparus en France dans les années 1970 et toujours à la mode. L'auteure a sélectionné plus de 600 prénoms, regroupés en 365 familles, pouvant englober des prénoms à fortes variantes orthographiques. D'Adam à Zoé, découvrez la signification de tous ces prénoms, leur ancienneté, leur popularité ainsi que des anecdotes marquantes, sans oublier les jours de fête. Que vous ayez à choisir le prénom de votre enfant, ou envie de connaître la signification du vôtre, ce livre est pour vous.
Les orphelins étaient nombreux autrefois, car l'espérance de vie n'était pas très longue. Que devenaient les enfants à la mort des parents ? Ce guide indique les démarches à suivre pas à pas en archives, pour toutes les catégories de tutelle : les orphelins sous tutelle familiale, les pupilles de la nation, les enfants retirés à leurs parents, mais aussi ceux adoptés à l'âge adulte. Une dernière partie aborde les adultes mis sous tutelle à la demande de leurs proches. Pour découvrir en archives de quoi en finir avec certains secrets de famille.
En généalogie, rien n'est plus précieux qu'un acte de mariage puisqu'on y trouve mentionnés les parents des deux mariés : quatre ancêtres nouveaux d'un coup ! S'il n'est pas retrouvé, la remontée dans l'arbre se fait plus lente : le généalogiste doit bâtir des hypothèses, recouper, supputer, confirmer... Le détour par les archives notariées peut alors s'avérer utile, puisque, sous l'Ancien Régime, même les couples sans le sou passaient contrat devant notaire. Mais il existe d'autres documents riches d'informations : les sommations respectueuses qu'adressent les enfants majeurs aux parents refusant leur union ; les archives liées aux cas particuliers que sont les mariages de rosières, de militaires à la fin de l'Empire, d'officiers ou de quelques curés sous la Révolution ; celles des divorces, qui fournissent le pourquoi de la rupture ; les dispenses de mariage, qui peuvent livrer trois ou quatre générations d'un seul coup en même temps que les motifs personnels à l'origine de la demande... Ce livre permet précisément d'explorer toutes les pistes d'archives qui s'offrent à vous. Pas à pas, sur chacun de ces thèmes liés au mariage, il indique la démarche, les cotes, les lieux de recherche, avec des exemples concrets. Cette troisième édition augmentée complète utilement la démarche avec les derniers outils Internet, pour que ces documents généalogiques ne puissent plus vous échapper.
En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu'il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d'achat ou de revente... Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d'acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ?
Le cadastre offre une vue synthétique qui s'inscrit dans la durée, à l'inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis, mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels.
Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C'est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l'histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez, ou qu'elle a appartenu à un aïeul.
Car il vous la montre sur deux plans à plus d'un siècle d'écart, et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications.
Enfin, le fonds des hypothèques, complexe mais riche d'informations, permet de prolonger la recherche vers les documents notariés ou judiciaires, et d'obtenir la description précise des biens. Il est aussi un outil précieux pour une cousinade car il fournit les dates et lieux de naissance, parfois de décès, et d'habitation des descendants, si des terres sont restées dans la famille.
Cette édition augmentée complète la démarche avec de nouveaux exemples, les dernières mises à jour Internet et des informations complémentaires sur le cadastre rénové des années 1930.
En généalogie, on commence par collecter des noms, des dates, des lieux.
Puis on veut découvrir le quotidien de ses ancêtres. S'ils ont été enseignants, la recherche est plus facile que pour d'autres professions, tant les fonds d'archives sont nombreux... et tant l'endogamie est fréquente : le généalogiste n'entame pas des travaux pour une seule personne mais souvent pour plusieurs.
« Entrée à dix-sept ans à l'ENI de Poitiers, raconte une normalienne de la promotion 1931-1934, j'ai suivi la même voie que 25 membres de ma famille. Mon grand-père paternel avait commencé sa carrière de maître d'école en 1870 ».
Les fonds d'archives vous livreront ses notes et ses diplômes, même si sa scolarité remonte au milieu du XIXe siècle, jusqu'à son départ à la retraite, en passant par ses démêlés éventuels avec l'inspection, la mairie, les parents d'élèves...
Vous lirez les commentaires de la hiérarchie académique sur ses qualités d'enseignant et vous constaterez que les inspecteurs ont souvent la dent dure (« Peu intelligent et d'une présomption en rapport inverse de sa valeur » en 1871). Vous découvrirez le nombre d'élèves à sa charge ("Convient-il de laisser plus longtemps 90 espiègles sous la direction d'un seul maître ? » en 1875), la description de son logement, ses décorations ou ses blâmes et bien d'autres choses encore.
Thème par thème, le guide vous indique où chercher et comment.
Un outil indispensable en salle d'archives, pour tous les historiens de leur famille.
On ne choisit ni son prénom ni son nom de famille, on les reçoit. Mais si le prénom vient au monde avec nous, le nom est vieux de 800 ans. Il nous rattache à une histoire familiale, à des récits des origines parfois fantasmés, il est plus ou moins facile à porter... Dans tous les cas, les patronymes ont un sens précis, ils ne sont pas de simples associations de sonorités.?Ce sens nous semble parfois limpide (Petit, Legrand, Meunier...), mais peut être trompeur ou indéchiffrable au premier coup d'oeil. Comment faire alors pour trouver la signification? Cet Atlas des noms de famille fournit des cartes de localisation et l'étymologie des noms les plus portés ou les plus connus. Surtout, il explique comment les patronymes se sont formés, quelles sont leurs caractéristiques régionales, leurs déformations orthographiques au fil des siècles, combien de noms se sont déjà éteints ou vont prochainement disparaître, comment ils migrent, comment il faut les analyser pour les comprendre... le tout avec des centaines d'anecdotes sur les noms les plus incroyables, les transformations les plus inattendues, les traductions pratiquées autrefois près des frontières, les changements de noms demandés, les patronymes qui sont devenus des prénoms ou bien des noms communs, les mythes les plus fréquents, notamment autour des noms nobles et de la particule... jusqu'à la façon dont chacun d'entre nous peut vivre, bien ou mal, avec le nom qu'il a reçu... Bref, le curieux découvrira avec plaisir et amusement les subtilités des patronymes, tandis que le chercheur qui veut étudier la signification du sien découvrira comment faire.
Remonter en ligne directe l'ascendance de votre père ou de votre mère sur plusieurs siècles ne vous prendra pas plus d'une semaine (sauf enfant trouvé, ancêtres originaires de régions bombardées au cours des dernières guerres ou famille venue de pays où les modalités d'accès aux documents anciens sont différentes). Si des passionnés y consacrent des années, ce qui peut inquiéter le néophyte, c'est parce qu'ils cherchent l'ascendance de toutes leurs branches et qu'ils ont envie de retrouver la biographie de chacun - ou presque.
Il sera toujours temps de vous lancer ultérieurement dans un travail d'historien si cela vous tente. Dans l'immédiat, ce guide pratique fournit les bases de toute recherche généalogique. Il vous indique comment retrouver vos ancêtres un par un, avec leurs dates, leurs lieux de vie et leurs métiers, à travers les archives essentielles : l'état civil et les registres paroissiaux. Il détaille les démarches à faire sur place ou, dans la majorité des cas désormais, sur Internet.?Il donne des astuces de recherche, des conseils en cas de blocage, des repères pour utiliser au mieux les indexations et les généalogies en ligne, et les pièges à éviter.?Ce livre indispensable aussi bien aux débutants qu'aux généalogistes chevronnés doit faire partie de la bibliothèque de base de tout historien des familles.
Qui n'a pas trouvé dans son arbre généalogique des pupilles de la nation ? Ce statut créé en 1917 pour les enfants des morts pour la France permet de retrouver en archives des informations familiales et les parcours scolaires.
Même en dehors des guerres, les orphelins étaient nombreux, car l'espérance de vie autrefois n'était pas très longue. Que devenaient les enfants si c'était le père qui décédait, laissant la famille sans ressources ? Depuis la Révolution, un conseil de famille se rassemble, même si l'orphelin n'a guère de fortune, pour désigner qui va s'en occuper. Ses décisions sont enregistrées par les justices de paix, dans les fonds judiciaires des archives départementales. Les comptes de tutelle, qui doivent être rendus et justifiés, se trouvent dans les archives notariées et vous permettent de confirmer une légende familiale ou de rendre justice à un tuteur décrié. Car la littérature et les légendes familiales abondent en récits bien noirs sur les tuteurs : ils auraient tous les défauts, maltraitant les enfants ou pillant leur biens pour les laisser sans fortune à leur majorité. Vrai ? Pas vrai ? Répondre à cette question ne peut que tenter l'historien des familles.
Ce guide indique les démarches à suivre pas à pas en archives, pour toutes les catégories de tutelle : les orphelins sous tutelle familiale, les pupilles de la nation, les enfants retirés à leurs parents, les adultes mis sous curatelle à la demande de leurs proches. Pour en finir avec certains secrets de famille...
Rien n'est plus difficile pour un généalogiste que de retracer l'histoire de familles dont le quotidien était fait de déplacements. Ce n'est pas ici l'accès à des archives étrangères qui pose problème (des guides par pays existent dans cette même collection pour épauler le chercheur dans cet autre cas de figure), mais le repérage et le suivi de générations perpétuellement dispersées en France. On songe bien sûr immédiatement aux forains ou aux bateliers : sur quelle rive de quel fleuve faut-il chercher les naissances des enfants, les mariages des jeunes, les décès des anciens ? De la même façon, les musiciens ambulants, les colporteurs, les bateleurs de petits cirques locaux... sont nomades au milieu de populations globalement immobiles.
On pense moins aux sabotiers, aux bûcherons, aux charbonniers ou aux scieurs de long. Pourtant eux aussi migraient en fonction des coupes de bois dans les forêts, parfois sur des centaines de kilomètres. Pas étonnant que les généalogistes puissent perdre leur trace ! D'autres métiers (berger, vannier, maçon...) étaient pratiqués à la fois par des sédentaires et par des migrants ; le généalogiste non prévenu peut ne pas songer à les chercher au loin.
L'ouvrage indique comment pister ces ancêtres migrants dans les fonds d'archives, quels sont les écueils à éviter, les sources en plus à explorer, détaillées pas à pas, et donne de nombreux exemples.
Les recensements ont longtemps fait partie des documents d'archives que le généalogiste consultait peu, car leur exploration s'avérait fastidieuse pour les communes importantes. Mais les indexations se sont tant multipliées depuis 2021 que des centaines de millions d'ancêtres sont désormais accessibles par ce biais et que ce chiffre s'accroît tous les mois.
Ces mises en ligne bouleversent les modalités de recherches et apportent des compléments à nos arbres généalogiques. Vous avez perdu la trace de vos ancêtres et vous ne savez pas de quelle localité ils sont originaires ? Vous voulez savoir avec qui vivait votre arrière grand-mère qui a eu un enfant sans être mariée ? Vous ne savez pas chez qui s'était placé votre arrière-grand-oncle avant son service militaire ? Vous voulez connaître le nombre de domestiques de votre riche aïeul ?... Vous obtiendrez assez facilement des réponses, mais l'exploration des recensements mis en ligne présente pour le chercheur des pièges inhabituels, détaillés ici.
Ce guide pratique vous accompagne également pas à pas dans la démarche de recherche traditionnelle pour les localités non encore présentes sur Internet ou pour les recensements les plus anciens, ceux de l'Ancien Régime et de la période révolutionnaire.
Bonnes recherches !
Partez à la recherche de vos ancêtres !
Retrouvez ses ancêtres, découvrir l'histoire de sa famille, reconstruire son arbre généalogique : c'est ce que propose ce kit de généalogie.
Vous trouverez dans le guide toutes les clés, simples et efficaces, pour connaître vos ancêtres et débuter vos recherches : remonter le temps de génération en génération, étoffer l'arbre généalogique, descendre et retrouver des cousins et bien d'autres informations encore. A vous ensuite de construire votre arbre, et de le reporter sur l'une des matrices fournies. Vous pouvez même en faire profiter vos proches, avec la matrice spéciale enfant , pour que les plus jeunes puissent avoir leur petit arbre à eux.
Cadeau idéal pour tous ceux qui veulent se lancer en généalogie, cette boîte élégante apporte toutes les bases nécessaires pour débuter en généalogie !
Comment faire son arbre généalogique ? Pourquoi ?
Et d'abord, qu'est-ce que la généalogie ?
Découvrez dans cet ouvrage distrayant, loin des clichés poussiéreux, la généalogie sous toutes ses facettes :
Histoire et dynasties, civilisations, mythologies et religions, génétique, psychologie...
Et apprenez comment retrouver facilement vos ancêtres et faire votre arbre généalogique avec les moyens anciens et modernes. Vous pourrez ensuite transmettre à votre tour l'histoire de votre famille.
A la fois ouvrage historique et guide pratique, cet ouvrage illustré, original et accessible, mine d'informations simples et claires, passionnera non seulement les généalogistes amateurs mais aussi tous les curieux !
Voici un ouvrage qui fournit l'origine des prénoms, leur signification, leur jour de fête et des listes de prénoms régionaux, mais surtout v qui indique les célébrités, les personnages marquants au fil de l'histoire, les héros de la littérature ou du cinéma qui ont pu les porter et qui nous ont fait rêver.
Bref, leurs stars. un prénom ? on l'aime, on l'adore, on le déteste. on le porte pourtant pour la vie. le choix de ce prénom peut suivre une sonorité à la mode, respecter une tradition familiale, évoquer le souvenir d'un proche, traduire une amitié. mais ces rites familiers masquent parfois l'image qu'il donne aux yeux des autres, l'évocation de ces personnages mythiques qui l'ont illustré et qui lui transmettent leur ombre ou leur lumière.
Cette encyclopédie vous propose ainsi une approche novatrice pour choisir un prénom au-delà des modes, pour mieux comprendre ce que le vôtre peut évoquer et en découvrir tous les héros, après vous bien sûr.
Le passé a de l'avenir ! la généalogie, c'est-à-dire la recherche de sa famille au fil des siècles, devient un passe-temps à la mode et s'inscrit dans la durée au-delà des engouements provisoires.
Elle permet à chacun de renouer avec toute une histoire familiale et de faire revivre des ancêtres oubliés, modestes ou notables, paysans, marins ou aventuriers, de se découvrir des parents à la bastille ou aux galères, ou bien au-delà des mers pour l'or des amériques, des grognards du premier empire, des journaliers besogneux emportés par la peste, des laboureurs ruinés par la guerre de trente ans ou le phylloxéra.
Les recherches sont simples ; elles ne demandent que du temps et de la persévérance. ce manuel guidera vos premiers pas, dans votre grenier pour les papiers de famille, en archives pour remonter le temps ou sur internet pour chercher de chez soi. il vous offre les clés d'une saga familiale à découvrir : la vôtre. en plus : ce guide contient huit fiches détachables, dont un arbre généalogique, à remplir au fil de vos recherches.