"Papiers" la revue de France Culture consacre son numéro de printemps à la politique : "La gauche, c'est par où ?", telle est la question. Pas de démocratie sans alternance et choix devant l'électeur. Or un peu partout dans le monde la gauche semble en miettes, incertaine de sa mission et de ses priorités : les minorités ? l'écologie ? les exclus et les migrants ? Un dossier spécial à l'occasion du 150e anniversaire de la Commune de Paris, où seront revisités les grands acteurs de la gauche, depuis Marx et Jaurès jusqu'à Mitterrand et Coluche.
Philosophes, critiques d'art, artistes, jardiniers et paysagistes, et même agents de comédiens tentent de répondre à cette difficile question. Nous ne sommes plus à l'ère des Grecs de l'Antiquité pour lequel le Beau ne se pouvait concevoir sans le Vrai et le Bon.
Nous ne sommes plus à l'époque de l'esthétique du sublime, ni à celle de l'imitation de la Nature... Alors, quoi ? Pourquoi trouvons-nous beau ce visage, ce tableau, ce paysage ?
La revue Papiers propose pour son numéro de rentrée un grand dossier sur les Etats-Unis à la veille de l'élection du président. Avec les entretiens avec les meilleurs écrivains et intellectuels américains. Pour mieux connaître cette Amérique désormais en compétition avec la Chine pour la place de plus grande puissance mondiale.
Les alertes du GIEC, les signaux de nombreux observateurs, les dérèglements climatiques de plus en plus nombreux... Malgré tous ces événements, rien n'y fait, nous continuons à vivre comme avant. Comme disait un président de la République (qui ne fit pas grand-chose durant ses deux mandats) : « la planète brûle et nous regardons ailleurs ».
Il faut croire que notre cerveau n'est pas fait pour prévoir ni anticiper. Nous sommes ainsi faits que nous savons que les menaces sont là, mais que nous préférons vivre l'instant présent.
Dans ce numéro spécial de Papiers, la revue de France Culture, écologistes, scientifiques et philosophes vous expliquent pourquoi nous n'arrivons pas à bouger nos modes de vie ni nos modes de production. Question de politique bien sûr, mais aussi question de psychologie.
Également au sommaire :
- La Bible n'est pas tombée du ciel, une conférence de Thomas Römer, professeur au Collège de France. Ce qu'on sait de l'écriture du texte...
- L'héritage de Toni Morrison. L'écrivaine noire américaine, prix Nobel, qui vient de mourir, est toujours d'actualité. Notamment par son message sur la tolérance, sur les vertus de la littérature, et par son combat pour les femmes et les minorités.
Le système de santé français est excellent pour les maladies du corps, mais est-il aussi bon pour soigner l'âme humaine ? Pourquoi la psychiatrie repose-t-elle toujours sur la chimie ? La psychanalyse a-t-elle encore droit de cité ? Nous publierons des témoignages (« En séance, étapes d'une psychanalyse »), des conférences (les apports des cognitivismes), des polémiques (entre psys et comportementalistes), etc.
En supplément, « Papiers » publiera une liste inédite des « 30 essais à lire pour comprendre le monde contemporain » choisis par les producteurs de France Culture.
Des animaux et des hommes : Depuis quand défend-on les animaux ? Les animaux sont-ils des hommes comme les autres ? Les bêtes pensent-elles ? De l'exploitation à la libération ? Le corbeau, plus intelligent que les primates ? La vénération du tigre, etc. Telles sont quelques-unes des questions que posera le prochain dossier de "Papiers". Pour comprendre pourquoi nous sommes si cruels avec nos cousins animaux.
Egalement au sommaire de ce numéro : La vie sexuelle à Rome et en Grèce. Comment vivaient les hommes et les femmes de l'Antiquité. Ce qui était permis et ce qui était tabou. La place des esclaves. Homosexualité, hétérosexualité, des notions qui n'avaient alors pas de sens, etc. Carl Dreyer, cinéaste de l'espace et du visage. Vampyr (1932), Jour de colère (1943), Ordet (1955) et Gertrud (1964)... Autant de chefs-d'oeuvre qui ont influencé tout le cinéma de la fin du XXe siècle.
Papier, c'est une revue de création pleine de récits courts basée sur une grande diversité de styles et d'approches.
Emmenés par le franco-italien Grégory Panaccione qui livre ici une suite à son album Match, on découvre dans ce numéro le néerlandais Sam Peeters, le brésilien Caetano Melo dos Santo et bien d'autres. Leur point commun ? Une immense envie de s'amuser en racontant de bonnes histoires.
Papier, c'est une revue de création pleine de récits courts basée sur une grande diversité de styles et d'approches.
Emmenés par le Québécois Guy Delisle, on retrouve dans ce numéro le Français Florent Sacré, le Belge Max de Radiguès, l'Italien Grégory Panaccione, le Brésilien Stevz et bien d'autres... Leur point commun ? Une immense envie de s'amuser en racontant de bonnes histoires.
Dans Papier, chacun y va de son récit de vie, de sa fiction, de son drame, de sa comédie, de sa parodie, de son récit autobiographique, de son lâcher prise. La diversité des styles, des angles de vue et des origines de tous les auteurs caractérise cette nouvelle revue de bandes dessinées lancée par Yannick Lejeune et Lewis Trondheim. Leur point commun ? Une vraie envie de s'amuser... plaisir partagé !
Au casting de ce deuxième numéro, retrouvez entre autres : Kwak Baek-Soo, Pénélope Bagieu, Elo Sterv, Juan Saenz Valiente, Martin Singer et Lewis Trondheim.
Papier, c'est une nouvelle revue de BD, composée de récits courts, publiés dans un petit format avec une grande diversité de styles et d'approches. Parmi les auteurs, des filles, des garçons, des jeunes, des vieux, des confirmés, des débutants, des Français mais aussi de nombreux auteurs internationaux à découvrir. Leur point commun ? Une vraie envie de s'amuser, d'expérimenter, de lâcher prise...
La nouvelle revue de création qui prône la diversité ! Multiplicité des styles, des approches, des auteurs et des nationalités.
Au casting de ce numéro : le Français Boulet, le Belge Max de Radiguès, la Québécoise Zviane, le Néerlandais Boris Peeters, la Roumaine Ilana Surducan et bien d'autres...
Leur point commun ? Une vraie envie de s'amuser en racontant de bonnes histoires.
Papier, c'est une revue de création pleine de récits courts basée sur une grande diversité de styles et d'approches. Pour fêter ce 6e numéro, c'est Marc-Antoine Mathieu qui démarre la revue avec une histoire inédite, entraînant dans son sillon le franco-italien Grégory Panaccione, le Japonais Fumio Obata, l'Iranien Mehdi Alibeygi et bien d'autres. Leur point commun ? Une immense envie de s'amuser.
Berthe et ses amies poules caquettent gaiement dans le poulailler. Quand soudain, un renard déguisé en poule se présente pour venir couver. Les poules, fidèles à leur réputation d'animal peu malin, se posent bien des questions et sont presque prêtes à faire rentrer « le loup dans la bergerie » ou plutôt « le renard dans le poulailler ». Se laisserontelles berner par la supercherie ?
Au sommaire de ce numéro : des plans sur la comète, du complotisme de salle de bains, les tribulations d'un type en quête de sensations, un tapis de verdure noir et blanc, des non-dits familiaux en 3D, une géographie des semelles crottées, des flutes du fond des âges aux origines de la musique et une bande de chaussures qui ne pensent qu'à picoler, des sacrifices au Dieu Res, des poils bleus, des poils tout court, du fil et du foin, encore des poils bleus, tout ce que vous ne vouliez pas forcément savoir sur les orteils, une page 66, une bataille complètement dérangée, un texte à lire à voix haute, des têtes à toutes les fenêtres et du sang plein l'hôpital. Mais aussi de la poésie et des corps liés, fâchés, des rencontres à l'aveugle qui n'ont vraiment rien à voir avec du speed dating, des tapis d'excuses, une morte et des sourires forcés, des luttes sociales et des corps liés, toujours, fâchés, aussi, et enfin, des cheveux en pétard
Au fils des contes nous suivons cette joyeuse bande qui s'agrandit pour finalement trouver le plus important, des amis qui nous soutiennent et nous aiment vraiment.
Chacun sur sa route cherche quelque chose ou quelqu'un, mais la route parait plus douce avec une bande de copains, des amis et de l'amour. Alors, cherche et trouve !
Des monstres feuillus, des champignons par dessous la jupe, de l'amour en altitude et en chaussettes, une plaidoirie contre Sainte-Beuve (ou presque), du saucisson comme vous n'en avez jamais vu, du rififi dans la traduction, de l'infra-ordinaire, des lettres effacées, de la typographie éclairée, un intérieur surpeuplé, des pourparlers non-éducatifs, une brochettes de feignasses, un précis de philosophie saltoïste, un où est Charlie sans Charlie mais plein de poésie, des souvenirs d'Algérie, les débuts d'une recherche prometteuse, un trip musical collé conté, de la gravure sur papier publicitaire, des UniversiTerres en colère, des rouages explosifs, un traité du Nananère, du noir et blanc, des synonymes, de la poésie, une partouze, un Tribunal des mots et bien d'autres choses encore.
Voilà cinq années que Papier Machine choisit, puis soumet des mots à qui veut bien les entendre, faisant de chacun d'eux le terreau de chaque numéro. C'est sa manière de ne pas consentir, de ne pas accepter de se laisser déposséder du langage, de refuser « les mots sans les choses » qui nous privent de notre capacité à décrire et à agir, de réaffirmer que ces choses n'existent pas en dehors des mots, qu'on ne peut les concevoir qu'avec eux et que lorsqu'ils manquent les choses se dérobent. C'est sa manière de ne pas se laisser figer par les langues et leurs grammaires. Si nous choisissons habituellement un mot qui n'est pas un thème, c'est pour éviter de baliser les champs d'exploration, pour laisser plus de place à une forme de connaissance ou à des émotions qui devraient beaucoup à la surprise.
Au sommaire de ce numéro six, follement régenté par le très ordinaire TOURNIQUET, les confidences d'un homme qui mourrait chaque jour, une plongée à l'ombre des jardins d'enfants, de la physique quantique pour les (pas complètement) nuls, les pérégrinations sonores d'une boule lancée en pleine cuisine, des chevaux, des grenouilles, des éléphants, des poulpes barbouillés, une chouette chouette, mais aussi des humains emmaillotés, un entretien avec une barrière mal entretenue, la grandeur et la décadence de villes invisibles, un catalogue poétique à la gloire des couleurs, une tomate céleste, un geste de survie en milieu tropical et bien d'autres explorations et folies nécessaires.
Le numéro 9 de Papier Machine fait le tour, le détour et les retours du mot PLATEAU sur 112 pages en couleur. On y trouve une plongée dans l'univers obscur d'un plateau de téléréalité, un entretien éclairant sur le bon usage qu'on peut faire ses émotions, de grandes routes, des têtes coupées, des idées avortées, des cercles de couleurs qui font rêver, des terroristes inventés, de la poésie montée sur ressort, des circuits de résistance détaillés par le menu, des objets qui voyagent (presque) tout seul, des gens empilés, des gens rapprochés, des illusions d'optiques et d'autres enjeux identitaires, un antijeux dont vous serez l'anti-hérosine, des cartes du monde et des désirs d'emprise. Avec les contributions de : Hugues Leroy, Raquel Santana de Morais, Frédéric Fiolof, Hervé Laurent, Dorothée Richard, Antonin CRenn, Valeria Scricco, Nicolas Fong, Vincent Puente, Laura Quiñonez, Antoine-Toussaint Casanova, Édouard Cour, Coucou Mag (Matthieu Cauchy et Romain Cavaillon), Margaux Frasca, Ségolène Thuillart et Harold Mollet, Axel Houiller, Mehani Patrigeon, Benoît Piret pour le Raoul Collectif, Aurélie Jeantet, Adrien Giraud, l'ARER (l'Axosociété Royale de l'Entohmologie de la Résistance), Vitalia Samuilova, Leïla Sebbar, Boris Hennions et Florian Targa. Mis en page par Claire Allard.
Pour ce numéro quatre de Papier Machine, 26 esprits germinatifs sont à l'origine de contributions inédites et exclusives. 112 pages en couleur seront imprimées et reliées en mai 2016 et dans vos librairies en juin de la même année (tiens donc, quelle coïncidence).
Au sommaire de ce numéro quatre, sur lequel, ne refusant jamais l'exercice, le mot COIN dicte sa loi, il y aura entre autres, des images de la création du monde en 1974, une conférence d'ornitho-architecture, un complot déambulatoire, une imagerie des parlers cérébraux, la psychanalyse d'une andouillette, une partition à trois bitumes, la formation d'un chien truffier, un jeu d'oie pour souris, et l'étymologie secrète de la signature.
Parmi les 26 contributeurs, Luc Schuiten, chantre de l'habitation bio-climatique, Gregory Voivenel, photographe des cycles, les soeurs Doumerc, journalistes siamo-polymathes, Jérôme Poloczek, hyper-obsessionnel des cadres et des marges à la plume légère, Les Halles de Schaerbeck, néo-dédalistes, batisseurs d'espèces d'espaces, Aïnhoa Jean-Calmettes, directrice de la revue Mouvement, Adèle Jacot, créatrice d'arsenaux et co-fondatrice de Journal Intime de Quartier... et une volée d'autres intubables et géniaux inventeurs, écrivains, illustrateurs, architectes, astronomes, sans oublier nos adoré-e-s inclassables sans-étiquettes.
Les membres du coin :
Adèle Jacot, Karelle Ménine, Francis Tabouret, Coline Sauvand, Anne Raffin, Alejandra Mejia Cardona, Vitalia Samuilova, Anne Penders, Julie Rouanne, Florent Garnier & Sylvain Chauveau, Antoine Bureau, Coline Sauvand, Jean Pellaprat, Nele Lübbert, Valentine Bonomo, Luc Schuiten, Coline Sauvand, Grégory Voivenel, Leslie & Caroline Doumerc, Romain Maggiolo, Doriane Millet, Dariya Nikolaeva, Rachel Simonin, Pierre-Yves Morel & Francisco Moser, Lucie Combes, Audrey Mérigaud, Les Halles de Schaerbeek, Louise Devin, Aïnhoa Jean-Calmettes, Juliette Framorando, Pieter De Wel, Jérôme Poloczek, Aldwin Raoul, Jean Tertrain, Florian Tixier et Sébastien Lenouvel.