Une bande de garçons de six à douze ans se trouve jetée par un naufrage sur une île déserte motagneuse, où poussent des arbres tropicaux et gîtent des animaux sauvages. L'aventure apparaît d'abord aux enfants comme de merveilleuses vacances. On peut se nourrir de fruits, se baigner, jouer à Robinson.
Mais il faut s'organiser. Suivant les meilleures traditions des collèges anglais, on élit un chef. C'est Ralph, qui s'entoure de Porcinet, « l'intellectuel » un peu ridicule, et de Simon.
Mais bientôt un rival de Ralph se porte à la tête d'une bande rivale, et la bagarre entre les deux bandes devient rapidement si grave que Simon et Porcinet sont tués. Ralph échappe de justesse, sauvé par l'arrivée des adultes.
Ce roman remarquable a un sens allégorique qu'il n'est pas difficile de comprendre : c'est l'aventure des sociétés humaines qui est tragiquement mise en scène par les enfants. Mais l'oeuvre vaut avant tout par la description de leur comportement et par l'atmosphère de joie, de mystère et d'effroi qui la baigne.
A plane crashes on an uninhabited island and the only survivors, a group of schoolboys, assemble on the beach and wait to be rescued. By day they inhabit a land of bright fantastic birds and dark blue seas, but at night their dreams are haunted by the image of a terrifying beast.
In this, his first novel, William Golding gave the traditional adventure story an ironic, devastating twist. The boys' delicate sense of order fades, and their childish fears are transformed into something deeper and more primitive. Their games take on a horrible significance, and before long the well-behaved party of schoolboys has turned into a tribe of faceless, murderous savages.
First published in 1954, Lord of the Flies is now recognized as a classic, one of the most celebrated of all modern novels.
Quand un empereur romain décadent et un inventeur de génie se rencontrent, qu'est-ce qu'ils se racontent ? Des histoires de canons, de machines de guerre, de bateaux à vapeur ? Non, la seule chose qui intéresse l'Empereur, c'est l'invention de la cocotte-minue pour pouvoir enfin manger de la viande cuite comme il l'aime... Une histoire à l'humour débridé et fantaisiste, un conte philosophique cruel par l'auteur de Sa Majesté des Mouches.
William Golding a choisi de transporter le lecteur dans un passé légendaire où son imagination joue en toute liberté : il se sert de la relativité historique pour montrer la pérennité du coeur humain. Un Pharaon arrive au bout de son destin (Le Dieu scorpion). Un homme préhistorique, Crac-Crac, ainsi surnommé parce qu'il a une cheville déboîtée qui produit un double claquement, retrouve sa dignité grâce à une femme. Un empereur romain récompense un génial inventeur, l'envoyé extraordinaire, qui lui propose plusieurs inventions dont celle de la machine à vapeur et de l'imprimerie. L'empereur lui préfère celle de la cocotte-minute...
Un homme à la mer lutte pour ne pas mourir. Le destroyer à bord duquel il était officier vient d'être coulé. Pareil au ludion dont l'image le hante, l'homme se débat dans les vagues qui l'emmènent à la dérive. Soudain, une forme imprécise surgit de la brume : on pourrait croire l'étrave d'un navire. Ce navire est une île, un rocher perdu...
Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, vogue vers l'Australie où il doit remplir de hautes fonctions administratives. Au cours d'une traversée fertile en rebondissements, il perd quelques illusions mais gagne en maturité et en sagesse, sans que l'abandonne pour autant son sens de l'humour et de l'observation.Sur le navire prisonnier d'une mer immobile, se déroule un chassé-croisé amoureux. Voici qu'en habits de bal, telles les marionnetes d'une comédie de moeurs, les personnages dansent et médisent, tandis qu'à leur insu une fange d'algues vertes, enserre le navire.Dans Coup de semonce, deuxième volet de la Trilogie maritime, William Golding tient en haleine le lecteur qui s'interroge sur le destin des personnages attachants et énigmatiques, dans le pur style des grands romans anglais du XVIII? siècle.
Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, poursuit son voyage vers les antipodes, une épopée maritime longue et éprouvante.Les péripéties comiques et tragiques qui se succèdent, décantent et révèlent les caractères : Mr Prettiman, qui semblait un pantin grotesque, apparaît être un humaniste, Miss Granham, la sévère institutrice, doit affronter la tempête... Edmund se languit de l'objet aimé. Le sceptique qu'il était rencontre l'amitié et l'admiration. Il découvre qu'il est capable de sensibilité et d'humanité.La cuirasse de feu, dernier volet de la Trilogie maritime, est l'aboutissement d'un long et difficile voyage dans le temps, l'espace et le coeur humain. William Golding, à la manière des romanciers anglais du XVIII? siècle, nous fait partager son amour de la mer.
Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, vogue vers l'Australie. Tout au long de la traversée, il tient un journal où il raconte, d'une plume alerte et réaliste, les menus incidents du microcosme où évoluent passagers, officiers et équipage : Mr. Brocklebank, artiste peintre et sa «fille» Zenobia, aux moeurs faciles, Miss Granham et Mr Prettiman, couple inattendu, le capitaine Anderson, farouchement attaché à ses prérogatives... En contrepoint de ce journal, une lettre du révérend Colley à sa soeur éclaire d'un jour différent les événements et les personnages.Dans Rites de passage, premier volet de la Trilogie maritime, William Golding choisit de faire vivre son lecteur à bord d'un grand voilier en présentant une vision des êtres et des faits à la fois comique et sévère, frivole et puritaine.
On l'appelle La Folie Jocelin:c'est une tour, une flèche immense que, au temps des bâtisseurs des cathédrales, un faux mystique, un halluciné, le doyen Jocelin, fait construire. Bien que dépourvue de fondations, elle atteindra le point vertigineux où un clou sacré, soi-disant rapporté de Rome, la fixera au firmament... Mais de combien de drames sera payée l'incroyable gageure?
This dystopian classic is ''e xciting, relevant and thought-provoking'' (Stephen King). W hen a group of schoolboys are stranded on a desert island, what could go wrong? ONE OF THE BBC''S ''100 NOVELS THAT SHAPED OUR WORLD'' ''The first book with hands - strong ones that reached out of the pages and seized me by the throat. It said to me, ''This is not just entertainment; it''s life or death.'' ... I''ve been thinking about it ever since, for fifty years and more.'' Stephen King ''One of my favorite books - I read it every couple of years.'' Suzanne Collins, author of The Hunger Games What are we? Humans? Or animals? Or savages? What''s grown-ups going to think? Going off-hunting pigs-letting fires out-and now! A plane crashes on a desert island. The only survivors are a group of schoolboys. By day, they explore the dazzling beaches, gorging fruit, seeking shelter, and ripping off their uniforms to swim in the lagoon. At night, in the darkness of the jungle, they are haunted by nightmares of a primitive beast. Orphaned by society, they must forge their own; but it isn''t long before their innocent games devolve into a murderous hunt ... ''Thrills me with all the power a fiction can have ... Exemplary.'' Ian McEwan ''An existential fable backlit with death''s incandescent glare.'' Ben Okri ''Violently real ... An apocalyptic novelist [who writes with] humanist rage and defiance.'' Marlon James ''Beautiful and desperate, something quite out of the ordinary.'' Stevie Smith ''Beautifully written, tragic and provocative.'' E. M. Forster ''A fragment of nightmare.'' New Statesman ''A post-apocalyptic, dystopian survivor-fantasy ... [A novel] for all time ... A cult classic.'' Guardian ''Stands out mightily in my memory ... Such a strong statement about the human heart.'' Patricia Cornwell ''Terrifying and haunting.'' Kingsley Amis What readers are saying: '' Every real human being should read this ... This is what we are.'' '' It''s brilliant, it''s captivating, it''s thought provoking and brutal and for some, its truly terrifying.'' ''I t can be read and re-read many times, and every time something new will appear .'' '' There is a reason why this is studied at school ... Excellent read.'' '' This is one of the few books I''ve read that I keep on my Kindle to read again.'' ''I revisit this every few years and it''s always fresh and impressive ... One of the best books I''ve ever read.''
A novel that has captivated schoolchildren. It is a catalyst for discussion and analysis, not only concerning the capabilities of humans for good and evil and the fragility of moral inhibition, but beyond. It also encourages original and independent thought from students, as well as guiding them through the text.
William Goldings unforgettable classic of boyhood adventure and the savagery of humanity comes to Penguin Classics in a stunning Graphic Deluxe Edition with a new foreword by Lois Lowry As provocative today as when it was first published in 1954, Lord of the Flies continues to ignite passionate debate with its startling, brutal portrait of human nature. William Goldings compelling story about a group of very ordinary boys marooned on a coral island has been labeled a parable, an allegory, a myth, a morality tale, a parody, a political treatise, and even a vision of the apocalypse. But above all, it has earned its place as one of the indisputable classics of the twentieth century for readers of any age. This Penguin Classics Graphic Deluxe Edition features an array of special features to supplement the novel, including a foreword by Lois Lowry, an introduction by Stephen King, an essay by E. M. Forster, an essay on teaching and reading the novel and suggestions for further exploration by scholar Jennifer Buehler, and an extended note by E. L. Epstein, the publisher of the first American paperback edition of Lord of the Flies . For more than seventy years, Penguin has been the leading publisher of classic literature in the English-speaking world. With more than 1,700 titles, Penguin Classics represents a global bookshelf of the best works throughout history and across genres and disciplines. Readers trust the series to provide authoritative texts enhanced by introductions and notes by distinguished scholars and contemporary authors, as well as up-to-date translations by award-winning translators.
Wilfred Barclay, écrivain célèbre, alcoolique, en proie au démon de midi, se raconte sans complaisance et nous fait partager l'itinéraire difficile qu'il parcourt afin d'échapper à la poursuite implacable de Rick L. Tucker, jeune professeur américain bien décidé à devenir son biographe officiel et l'unique spécialiste de son oeuvre. Leurs rapports complexes et destructeurs, teintés de sadomasochisme, les entraînent inéluctablement vers un dénouement inattendu. Tandis qu'une sorte d'osmose s'opère entre les deux protagonistes, un petit nombre de personnages jouent un rôle déterminant dans le déroulement de l'intrigue : Liz, l'ex-épouse toujours présente, Mary Lou la tentatrice, Johnny, un écrivain homosexuel, et Mr Halliday, l'homme invisible, le deus ex machina qui pourrait bien être l'envoyé du destin, sinon le destin lui-même. Avec Les hommes de papier, William Golding a écrit une oeuvre puissante et originale, où la satire est souvent féroce, où la dérision tient, plus encore peut-être que dans ses romans précédents, une place de première importance.
Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, poursuit son voyage vers les antipodes, une épopée maritime longue et éprouvante. Les péripéties comiques et tragiques qui se succèdent, décantent et révèlent les caractères : Mr Prettiman, qui semblait un pantin grotesque, apparaît être un humaniste, Miss Granham, la sévère institutrice, doit affronter la tempête... Edmund se languit de l'objet aimé. Le sceptique qu'il était rencontre l'amitié et l'admiration. Il découvre qu'il est capable de sensibilité et d'humanité. La cuirasse de feu, dernier volet de la Trilogie maritime, est l'aboutissement d'un long et difficile voyage dans le temps, l'espace et le coeur humain. William Golding, à la manière des romanciers anglais du XVIII? siècle, nous fait partager son amour de la mer.
Coffret de trois volumes vendus ensemble
Sammy mountjoy est un peintre connu.
Enfant naturel d'une prostituée, il a été élevé à la mort de celle-ci par un pasteur. quelques années plus tard, il fréquente une école de dessin et flirte passagèrement avec le parti communiste.
Taraudé par le désir quasi obsessionnel de posséder béatrice, il est déçu par cette expérience sexuelle et épouse taffy. au cours de la seconde guerre mondiale, le capitaine mountjoy est fait prisonnier et, indirectement mêlé à une évasion, se trouve confronté aux méthodes nazies.
Or, sammy découvre qu'un jour, quelque part, il ne sait ni où ni quand, il a irrémédiablement perdu sa liberté. cette prise de conscience induit une quête ardente et douloureuse dont chaque péripétie éclaire et approfondit la singularité de son caractère.
Un roman émouvant où l'auteur aborde le problème du choix avec la vigueur et l'originalité qui sont la marque de son oeuvre.
Succumb to a churchman''s apocalyptic vision in this prophetic tale by the radical Nobel Laureate and author of Lord of the Flies, introduced by Benjamin Myers (narrated by Benedict Cumberbatch as an audiobook). There were three sorts of people. Those who ran, those who stayed, and those who were built in. Dean Jocelin has a vision: that God has chosen him to erect a great spire. His master builder fearfully advises against it, for the old cathedral was miraculously built without foundations. But Jocelin is obsessed with fashioning his prayer in stone. As his halo of hair grows wilder and his dark angel darker, the spire rises octagon upon octagon, pinnacle by pinnacle, watched over by the gargoyles - until the stone pillars shriek, the earth beneath creeps, and the spire''s shadow falls like an axe on the medieval world below ... '' Astounding ... So recklessly beautiful, so sad and so strange ... Holds such a place in my soul that it''s more or less a sacred text.'' Sarah Perry ''A kind of miracle ... Genius.'' Guardian ''A visionary ... Golding at his best.'' Benjamin Myers '' Quite simply, a marvel .'' NYRB '' A superb tragedy ... A classic .'' Rebecca West ''A master fabulist .. An iconoclast.'' John Fowles
Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, vogue vers l'Australie. Tout au long de la traversée, il tient un journal où il raconte, d'une plume alerte et réaliste, les menus incidents du microcosme où évoluent passagers, officiers et équipage : Mr. Brocklebank, artiste peintre et sa «fille» Zenobia, aux moeurs faciles, Miss Granham et Mr Prettiman, couple inattendu, le capitaine Anderson, farouchement attaché à ses prérogatives... En contrepoint de ce journal, une lettre du révérend Colley à sa soeur éclaire d'un jour différent les événements et les personnages.Dans Rites de passage, premier volet de la Trilogie maritime, William Golding choisit de faire vivre son lecteur à bord d'un grand voilier en présentant une vision des êtres et des faits à la fois comique et sévère, frivole et puritaine.
Avec Journal égyptien, William Golding propose le récit d'un voyage en Égypte «pas comme les autres». Sans les contraintes qu'imposent le roman, ses structures et ses personnages, c'est au fil du Nil que l'auteur, devenu le héros de ses propres aventures, nous livre un carnet de bord plein de verve et d'esprit. L'anecdote y trouve une place de choix sans que, pour autant, soient gommées observations et réflexions. Jamais didactique, jamais pontifiant, il procède par petites touches et nous fait partager ses expériences - souvent drôles - de touriste privilégié. Cette oeuvre légère, proche du reportage et pourtant différente, présente un double intérêt : d'une part, elle nous fait apprécier une Égypte vraie et sincère que ne déguisent pas les faux-semblants d'un tourisme aguicheur et, de l'autre, elle met en évidence l'humour et la fantaisie d'un écrivain trop souvent considéré comme sévère voire hermétique.
Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, vogue vers l'Australie où il doit remplir de hautes fonctions administratives. Au cours d'une traversée fertile en rebondissements, il perd quelques illusions mais gagne en maturité et en sagesse, sans que l'abandonne pour autant son sens de l'humour et de l'observation.Sur le navire prisonnier d'une mer immobile, se déroule un chassé-croisé amoureux. Voici qu'en habits de bal, telles les marionnetes d'une comédie de moeurs, les personnages dansent et médisent, tandis qu'à leur insu une fange d'algues vertes, enserre le navire.Dans Coup de semonce, deuxième volet de la Trilogie maritime, William Golding tient en haleine le lecteur qui s'interroge sur le destin des personnages attachants et énigmatiques, dans le pur style des grands romans anglais du XVIII? siècle.
William Golding a choisi de transporter le lecteur dans un passé légendaire où son imagination joue en toute liberté : il se sert de la relativité historique pour montrer la pérennité du coeur humain. Un Pharaon arrive au bout de son destin (Le Dieu scorpion). Un homme préhistorique, Crac-Crac, ainsi surnommé parce qu'il a une cheville déboîtée qui produit un double claquement, retrouve sa dignité grâce à une femme. Un empereur romain récompense un génial inventeur, l'envoyé extraordinaire, qui lui propose plusieurs inventions dont celle de la machine à vapeur et de l'imprimerie. L'empereur lui préfère celle de la cocotte-minute...
Christopher Martin, the sole survivor of a torpedoed destroyer, is stranded upon a rock in the middle of the Atlantic. Pitted against him are the sea, the sun, the night cold and the terror of his isolation. To drink there is a pool of rain water; to eat there are weeds and sea anemones. Through the long hours with only himself to talk to, Martin must try to assemble the truth of his fate, piece by terrible piece. While most readers are aware of William Golding as the writer of Lord of the Flies , it is Pincher Martin , his third novel, that speaks most directly to contemporary readers. This shocking, unusual bullet of a book is the definitive survival novel and has an ending that is guaranteed to leave you reeling.
Parade sauvage est le huitième roman de William Golding. Comme ceux qui l'ont précédé, il se singularise par l'originalité de la pensée et de l'expression. Mais plus encore que les autres, il s'éloigne du banal et de l'ordinaire pour plonger au coeur d'un univers fantastique où le réel est illusoire et l'illusion réalité. Qui est, en réalité, ce Matty, né des flammes du Blitz et personnage clé du roman? Un être psychotique en quête de son identité, ou bien un prophète inspiré? Dans le monde que l'auteur nous dépeint, où l'amour est sans cesse détourné de son objet véritable, où Sebastian Pedigree aime les petits garçons, Sophy son père et Sim Goodchild ses petites voisines..., les personnages se détruisent les uns les autres et s'autodétruisent avec fureur. Leurs vies se confondent dans un tourbillon de cruauté, de terreur et de mystère. Parade sauvage est une oeuvre troublante, complexe, où se mêlent réalisme et poésie. Comme toujours, Golding y exprime l'intérêt profond qu'il porte à l'homme; mais, cette fois, il mène ses personnages au bout de leur destin, dans le climat lourd et maléfique d'un monde décadent.
Trois récits sont groupés dans La Pyramide. Ils sont liés entre eux par la personnalité du narrateur et par l'unité de lieu:un petit village, Stillbourne, où le narrateur a vécu jeune homme. C'est l'évocation de la vie provinciale anglaise avec ses tabous sociaux, son «cant», ses ridicules, ses drames. Ils illustrent les aspects de cette vie étriquée et dramatiquement comique ou grave.