A sa sortie, quand il apprend que sa femme a été exécutée, Maur n'a qu'une idée : se venger. Après avoir abattu celui qu'il croit être le commanditaire et lui avoir dérobé son magot et son revolver, il va à la rencontre de son meilleur ami, Silien. Ce dernier est considéré par tous les truands comme un "porteur de doul". Tout en essayant de persuader Maur de ne pas replonger, Silien lui remet le matériel nécessaire au nouveau coup que son ami projette. Quand il sort de chez Maur, Silien appelle le commissaire Saligrani. L'engrenage est lancé : si l'amitié est de règle chez les truands, les apparences sont trompeuses.
Mathieu mène une existence paisible entre sa femme et leur enfant ; sa vie simple lui convient. Lors d'une visite médicale, cet ordre est bouleversé : il est condamné. Son seul objectif devient alors de mettre les siens à l'abri du besoin. Une rencontre fortuite, une proposition, et voici un brin d'espoir. Cette " affaire " lui permettrait d'assurer un " avenir " à sa petite famille. Mais un tueur peut-il avoir des états d'âme, surtout si c'est un débutant ? Lorsqu'il réalise qu'il a été manipulé, l'agneau qui a goûté au sang devient loup !
La poisse, c'est ce qui caractérise le héros du Demi-sel : Balthazar. Parce qu'il avait eu affaire à un salopard et qu'il lui avait réglé son compte, il se savait maintenant traqué. Mort de frousse, terré chez lui, il observe de l'autre côté de la rue l'homme qui semble l'attendre dans l'encoignure de la porte, juste en face. Empoignant son Mauser, il tire et puis s'éloigne à pas tranquilles. C'est le commencement de la fuite, et le voici pris dans un engrenage dont il ne pourra pas s'extraire.
« Vicky de Berlin », la belle michetonneuse, tient le Ration K, bar à filles de Bruxelles. Les frères Napos, propriétaires du Vertige, ont décidé de racketter tous les bars de la ville.
Affrontements entre tenancières et tapineuses, entre caïds et faussaires.Le « beau Marcel », chargé de l'affaire des faux talbins, devra orchestrer les rivalités entre deux clans, les affaires de filles, de territoires qui ne font pas bon ménage.
Le classique de référence adapté au cinéma par Alex Joffé en 1959.
A la fin, un glossaire d'argot.
Un langage vert qui nous plonge directement dans le mileu de la pègre et des caïds qui en ont fait rêver plus d'un, par l'inventeur des mots « rififi » et « chnouf ».
Doria vit seule et heureuse avec ses jumeaux âgés de 11 ans sur les hauteurs de Nice. Lors d'une visite, son voisin, Jourdain, sexuellement frustré, la viole et l'étouffe.
Quand ils découvrent le corps de leur mère, Marieke et Patrick prennent en toute innocence, une incroyable décision : ne rien dire, vivre comme si rien ne s'était passé. Tout, sauf aller en pension !
Combien de temps arriveront-ils à justifier l'absence de leur mère ? Jourdain arrivera-t-il à s'expliquer cette disparition : son doute sera l'instrument de sa perte.
Un de ces villages de Provence où les maisons poussent à l'identique, étouffant. au bout du chemin, la grande bâtisse que nous aimerions retaper. C'est la demeure de Raymonde, 76 ans, et tous, au village, souhaitent que cette vieille dame la vende ; le lotissement prévu par Monsieur le Maire pourrait ainsi voir le jour. Mais voilà !, veuve, sans enfants, cette maison même trop grande pour elle, c'est sa vie à Raymonde, avec tous ses souvenirs. Alors vendre, jamais ! Petit à petit, en regardant les autres vivre avec leurs affections, leurs bonheurs, l'idée lui vient de faire ce qu'il faut pour vivre son rêve : la chaleur d'une famille et d'un " Noël au chaud ". Et pour cela, elle est prête à tout !