Quand Albert, jeune orphelin solitaire, rencontre Solange, fille de tondue abandonnée à elle-même, c'est l'étincelle qui allume la mèche. Seuls contre tous, ils deviennent inséparables, et transforment leur amitié en un amour féroce.
Leur premier crime est un accident.
Le deuxième, un calcul.
Les étés meurtriers se suivent sans se ressembler, sur le rythme mélancolique d'une chanson disco des années 1970. Mais la mèche se consume... et leur drôle de danse ne peut pas durer éternellement.
Un roman aussi ténébreux que romantique, tellement troublant qu'il en devient fascinant, à l'image de ses deux anti-héros torturés. Ces Papillons noirs n'ont pas fini de vous hanter.
"Le train est aussi dangereux que le paquebot", dit Hercule Poirot...
Le lendemain, dans un wagon de l'Orient Express bloqué par les neiges yougoslaves, on découvre le cadavre d'un Américain lardé de douze coups de couteau.
L'assassin n'a pu venir de l'extérieur : voici donc un huis clos, le plus fameux, peut être, de toute la littérature policière, où, pour mener son enquête, le petit détective belge a le choix entre une princesse russe, une Américaine fantasque, le secrétaire de la victime, un couple de Hongrois distingués, l'inévitable colonel de retour des Indes, les domestiques de ce beau monde et le contrôleur du wagon.
Un meurtre incompréhensible, à moins qu'on ne puisse établir que tous ces voyageurs sont moins étrangers les uns aux autres qu'ils ne veulent bien le prétendre...
Au nord de l'Écosse, quelques heures avant Noël.
Une voiture roule à tombeau ouvert sur une route déserte des Highlands. Au volant, Scott, héritier et mouton noir d'une grande lignée de la noblesse anglaise, se dirige à contre-coeur vers le manoir familial. Au détour d'un virage, une auto-stoppeuse apparaît, seule dans la nuit. La jeune femme, mystérieuse et mutique, sera sa passagère et la première étrangère à passer les fêtes dans cette famille figée dans ses traditions. Très vite, la présence de cette intruse au sein du clan viendra raviver des blessures, des rancoeurs et, comme un grain de sable dans les rouages d'une vieille machine, délivrer le lourd secret retenu entre les murs depuis des décennies.
Un roman atmosphérique tout en tension où les chapitres déferlent comme les vagues d'une tempête, jusqu'à dévoiler la vérité nue, derrière les non-dits.
« Après Les Papillons noirs, Gabriel Katz impressionne a nouveau. La thématique de la femme disparue, déja au coeur de son précédent roman, sert ici un récit (très court) qui dynamite les valeurs bourgeoises à la manière d'un Festen ou d'un Claude Chabrol. On valide de la première a la dernière ligne. » La Marseillaise « On retrouve dans son deuxième tir ce qu'on a aimé dans le premier. Des personnages à la joie étouffée, le mensonge comme un ballot au fond de la gorge, le cynisme craché au visage. » Le Point
La terre est riche. Parfois, elle y pense - la terre est riche. La boue est riche. Elle pas. Tout le monde est plus riche qu'elle, même la boue.
Catherine est pauvre. Catherine fait sale. Catherine parle peu. Elle n'aime pas qu'on la regarde - les filles qu'on regarde ont des problèmes. Au Domaine où elle travaille, elle fait partie de ces invisibles grâce à qui la ferme tourne.
Monsieur, lui, est riche. Il ne parle pas non plus - il crache ou il tonne. Et il possède tout.
Mais quand sa petite-fille de quatre ans disparaît ce jour glacé de février 1969, Monsieur perd quelque chose d'une valeur inestimable.
Dans cette vallée de champs de betterave, où chaque homme et chaque femme est employé de près ou de loin par Monsieur, deux flics parisiens débarquent alors pour mener l'enquête avec les gendarmes.
Car une demande de rançon tombe. Mais le village entier semble englué dans le silence et les non-dits. Personne ne veut d'ennuis avec Monsieur. À commencer par Catherine. Catherine qui se fait plus discrète et plus invisible encore. Catherine qui est la dernière à avoir vu la petite.
Après le succès de La Deuxième Femme, Louise Mey revient avec un roman noir éblouissant qui raconte comment une disparition peut révéler les pires jeux de pouvoirs, entre violences de classe et violences de genre.
Lauréate du Prix Landerneau Polar 2023 « Du lourd, du très très lourd La rentrée littéraire de septembre n'est pas encore achevée que nous nous intéressons déjà à celle de janvier. Louise Mey, dont nous avions adoré en 2020 la Deuxième femme, (éditions du Masque), l'histoire d'une femme sous emprise, publie le 11 janvier Petite Sale, toujours au Masque. » Libération « Si l'intrigue respecte les codes du polar, le récit vaut aussi pour la façon dont l'autrice l'utilise pour illustrer la hiérarchie des classes sociales et des genres dans une France où les femmes étaient toujours en bas de l'échelle.
Un bon roman noir. » Causette « Un terrible roman sociétal sur la France des années 1960 et les luttes pauvres/riches, femmes/hommes et villes/campagne. Révélateur et inquiétant. » Madame Figaro « Après son excellent roman La Deuxième Femme, qui explorait l'emprise d'un homme sur sa compagne, Louise Mey revient avec une nouvelle histoire noire, hypnotique et savamment construite. Haletant ! » Héloïse Goy, Télé 7 jours « Petite sale est un vrai polar, pas un polar prétexte, mais c'est aussi une étude minutieuse de la façon dont les violences patriarcales, en plus de transformer certaines femmes en montagnes de souffrance, tendent à gangréner toute notre société. 1969-2023, même(s) combat(s). » Slate « Et le lecteur se réjouit de ce récit qui aborde les rapports de domination de genre et de classe. Situé dans la France d'hier, ce cinquième polar de Louise Mey est fort actuel. » Le Parisien Week-End « Après son excellent roman La Deuxième Femme, Louise Mey continue de briller dans la veine du noir et dans la construction de personnages complexes, avec ce tourbillon glaçant de suspens. » S le magazine de Sophie Davant « Un roman puissant et ciselé, révélateur de la violence des rapports de domination de classe et de genre. » Télérama « La lutte des classes est d'abord celle des femmes. Cette conviction, Louise Mey nous la fait vivre avec son nouveau roman, Petite sale. » Le Monde des livres « L'écriture est sobre et puissante, la misère et le froid imprègnent chaque mot, ce qui n'empêche pas les éclats de lumière et d'amour. » Libération « Petite sale est un portrait féroce de cette bourgeoisie rurale fermée et étriquée. Madame n'a clairement pas le charme vénéneux de Stéphane Audran. Mais l'atmosphère des films de Chabrol effleure le roman.» Karen Lajon, JDD « Louise Mey donne ici la pleine mesure de son talent, tant pour dénoncer une domination sociale et un patriarcat mortifères que pour entre tenir un suspense au cordeau dans un décor de boue, d'humidité froide, d'obscurité. Son style sans fioritures, percutant, singulier, orchestre un défilé de personnages bien campés, qu'ils soient haïssables ou attachants. Et Petite Sale réserve surtout un dénouement jubilatoire. » L'Express « Après le drame intime de La deuxième femme, c'est un monde entre Bernanos et Simenon, tendu, violent et sans pardon que met en scène Louise Mey. » François Angelier, France Culture « Derrière le classicisme de l'enquête, il y a un style rageur, rugueux, magnifique. Chez Mey, la phrase est un morceau de boue aux basques de Catherine. Ça colle mais ça brille aussi. » Lire Magazines Littéraire « Une enquête classique évoquant la lutte des classes, par l'auteure du très remarqué La Deuxième Femme en 2020. » Télé 2 semaines « Louise Mey signe une intrigue formidable qui nous tient en haleine jusqu'à la chute, inattendue et réjouissante. » Le JDD « Parfois il y a des romans d'atmosphères et ou d'explorations sociales, parfois c'est l'intrigue qui prime, là vous avez les deux ! Dans un style affirmé qui sonne juste. » Nicolas Carreau, Europe 1 « Difficile de passer à côté. Pour les amateur-rices de roman noir, Louise Mey est désormais une référence incontournable. » Causette
En tant qu'ex-flic, John Rebus est un habitué des tribunaux. Mais pour la première fois, sa place est sur le banc des accusés. Aurait-il commis l'incartade de trop ? C'est ce qu'a laissé entendre Francis Haggard, un policier accusé de violences conjugales qui s'est choisi une défense un peu particulière... il justifie ses actes par la brutalité de son métier, et, pour prouver ses dires, il est prêt à faire tomber avec lui la moitié des forces de l'ordre d'Édimbourg. Une affaire aux répercussions évidentes, que les hautes instances de la police écossaise souhaitent étouffer au plus vite. Et c'est de l'inspectrice Siobhan Clarke, chargée de diriger l'enquête, que tout semble dépendre. Sa loyauté ira-t-elle à ses collègues, ou aux civils ?
Véritable acmé de la série, Un cimetière dans le coeur plonge dans les rouages du système policier pour en révéler les plus noirs secrets. Un roman diablement contemporain.
« Ce roman sombre à l'intrigue dense située dans une ville d'Edimbourg post-crise sanitaire, vingt et unième de la saga John Rebus, met en lumière la corruption policière, entre pots-de-vin, omerta et fraternité mal placée. » Télé 2 semaines « En vieux routier du polar, Ian Rankin interprète avec intelligence une partition très noire dans laquelle un Rebus fatigué mais résilient incarne avec finesse la plupart des maux de la capitale écossaise. » Les Echos « John Rebus restet oujours le maître du jeu et d'une intrigue comme d'habitude aussi complexe que sophistiquée.
Ce 24e épisode de ses aventures (à ranger avec les meilleurs) a tout pour plaire aux fans de la star incontestée du polar écossais et de son célébrissime héros, au moins jusqu'à l'épilogue, déroutant à souhait. » Le Figaro Magazine Traduit de l'anglais (Écosse) par Fabienne Gondrand
Mars 1943. Le Reich vient de perdre Stalingrad et le moral est au plus bas. Pour Joseph Goebbels, il faut absolument redonner du panache à l'armée allemande et porter un coup aux Alliés. Or sur le territoire soviétique, près de la frontière biélorusse, à Smolensk, ville occupée par les Allemands depuis 1941, la rumeur enfle. Des milliers de soldats polonais auraient été assassinés et enterrés dans des fosses communes. Dans la forêt de Katyn, aux abords de la ville, des loups auraient d'ailleurs déterré des fragments de corps. Qui est responsable de ce massacre ? L'Armée rouge sans doute. Pour Goebbels, c'est l'occasion rêvée pour discréditer les Russes et affaiblir les Alliés. Il a l'idée d'envoyer sur place une autorité neutre, le Bureau des crimes de guerre, réputé anti-nazi, pour enquêter objectivement sur cette triste affaire. Le capitaine Bernie Gunther, qui y officie est la personne idéale pour accomplir cette délicate mission. Gunther se retrouve dans la forêt de Katyn avec une équipe pour exhumer les quatre mille corps des officiers polonais et découvrir la vérité, quelle qu'elle soit.
On ne le répètera jamais assez: Hercule Poirot est le plus grand détective de tous les temps. Quel mystère pourrait le dérouteroe Disparition de bijoux inestimables, suicide suspect, espions retors, meurtres crapuleux, escroquerie de haut vol ou sombre affaire d'héritage, rien ne lui résiste. Mais surtout, pas d'acrobaties à quatre pattes dans l'herbe, une loupe à la main. Pas de dissertation sur un mégot taché de rouge à lèvres.
Non, Hercule Poirot laisse ces divertissements aux besogneux de Scotland Yard. Il se contente de s'installer dans un fauteuil et de laisser fonctionner ses illustres petites cellules grises.
Tout le monde l'a remarqué à l'hôtel Salomon : cette Américaine qui visite la Palestine avec sa famille est une mégère tyrannique et les siens vivent terrorisés. "Il ne nous reste plus qu'à les tuer", dit une voix, quelque part dans une chambre de l'hôtel.
Comme -bien par hasard - Hercule Poirot, à cet instant, est précisément en train de fermer sa fenêtre, cette petite phrase ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd.
Le monstre sera retrouvé mort dans son fauteuil, au cours d'une excursion à Petra. Qui, de cette tribu ilotisée, a eu le courage de mettre le projet à exécution ?
Hercule Poirot aimerait bien passer des vacances tranquilles. Une petite île, un hôtel agréable, une cuisine soignée, des pensionnaires charmants... Tout irait pour le mieux si, au milieu des estivants, ne tournait Arlena Marshall, une de ces femmes fatales qui font faire bien des bêtises aux hommes. Etait-ce une raison pour l'étrangler ? Drôle de vacances pour Hercule Poirot.. .
Une élégante demeure campagnarde, une maîtresse de maison qui assume la double - et épuisante ! - fonction de femme de diplomate et de belle-mère... et puis... Pipa, bien sûr, une enfant charmante quoiqu'un peu peste sur les bords.
Le décor semble planté pour une délicieuse garden party, mais voilà que débarquent en trombe un Premier ministre soviétique, un maître-chanteur, une ribambelle d'invités aux facéties usantes pour les nerfs...
Tout va mal, et pour couronner la soirée, un cadavre se met dans la tête d'encombrer le plus beau tapis du salon ! Cette fois c'est sûr : il n'y a plus qu'à tirer la sonnette d'alarme !
Charles Osborne, biographe et spécialiste de la reine du crime, a su transposer La Toile d'araignée de la scène au roman sans que l'oeuvre pâlisse : suspense, ironie grinçante et meurtre sont au rendez-vous...
Traduit de l'anglais par Pascal Aubin
Manchester, 17 décembre 2011. Zoe Nolan, 19 ans, quitte la tour de sa résidence universitaire à l'aube, après le déclenchement de l'alarme incendie lors d'une fête organisée dans sa colocation. C'est la dernière fois qu'elle est aperçue vivante.
Sept ans plus tard, l'écrivaine Evelyn Mitchell, qui s'intéresse aux disparitions inexpliquées de jeunes femmes, devient obsédée par celle-ci et décide de creuser l'enquête. Alors qu'elle envoie, au fur et à mesure de ses avancées, les chapitres de ce qui constituera son prochain livre à son ami Joseph Knox, elle disparaît à son tour.
Joseph plonge dans ses notes et ses retranscriptions d'interviews, et découvre les témoignages des proches de Zoe. De son petit ami à ses parents, en passant par ses professeurs, sa soeur jumelle et ses amis, tout le monde adorait Zoe Nolan.
Mais dans ce cas, pourquoi mentent-ils et se contredisent-ils entre eux ?
Un roman noir jubilatoire et addictif, qui convoque brillamment les codes de la narrative non-fiction, tantôt pour la parodier, tantôt pour la sublimer. Résultat : on se passionne pour l'affaire Zoe Nolan comme on s'est passionné pour l'affaire de la petite Maddie ou celle de Xavier Dupont de Ligonnès, au point de vouloir résoudre l'enquête nous-mêmes.
Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par jean Esch « Joseph Knox joue de manière virtuose avec ses lecteurs. C'est aussi savoureux que vertigineux. L'art du polar tient dans la manipulation du lecteur et ce roman y excelle car la conclusion y est constamment repoussée. » France Inter « True Crime Story touille large : jalousie, trahison, mensonge, addiction, manipulation, emprise. Mais Knox le fait en architecte très malin du vrai-faux suspense, hyper attentif à l'intérêt du lecteur. Joueur jusqu'au pastiche. Après avoir refermé son quatrième livre, on cherche à savoir, via Internet, ce qui est vraiment arrivé à Zoe Nolan. » Libération « Fiction ? Réalité ? Joseph Knox propose un Cluedo vicieux à ses lecteurs. On connaissait l'auteur, grand connaisseur de littérature noire, bien calé sur un classicisme qu'il a su renouveler avec brio, le voilà en scène dans une mise en abyme un brin vertigineuse, exploitant à la fois l'errance de cette jeunesse anglaise, le thème de la gémellité, celui de la pression paternelle. A 42 ans, l'ancien barman, ancien libraire, confirme qu'il est l'un des talents les plus singuliers du genre. » Corse Matin « L'auteur britannique, déjà connu pour le roman policier Sirènes, signe cette fois un ovni littéraire, follement original et mené habilement, à la manière d'un documentaire. On referme ce livre persuadé que cette histoire a bel et bien eu lieu ! » Télé 7 jours « Un roman oscillant brillamment entre faits divers et fiction. » Télérama, Christine Ferniot « La parution de «True Crime Story», de Joseph Knox aux Éditions du Masque, qui parodie et sublime l'approche dans une mise en abyme «à la ma¬nière de». Et si c'était vrai? » Tribune de Genève, Cécile Lecoultre « Aujourd'hui, un pastiche de true crime réalisé à la perfection. » Libération
En cette belle matinée de 1934, Hercule Poirot, retiré des affaires, savoure son petit-déjeuner dans son appartement de Mayfair...
Mais lorsque sir Claude Amory appelle au secours le détective, le chocolat crémeux et la brioche dorée ne sont plus qu'un lointain souvenir. Les recherches de ce célèbre savant atomiste suscitent bien des convoitises, y compris dans sa propre maisonnée... Première pièce de théâtre d'Agatha Christie, Black Coffee contient déjà tous les ingrédients incontournables de ses oeuvres: manoir dans la campagne anglaise, savant en danger, huis clos oppressant et surtout, détective aux moustaches inoubliables et aux petites cellules grises mythiques...
Il est des livres qui vous hantent et vous accompagnent et des héros si attachants que vous auriez envie de les rencontrer. C'est le cas de Claire DeWitt, une privée comme on n'en trouve pas. Elle a trente-cinq ans mais dit toujours qu'elle en a quarante-deux parce que personne ne prend une femme de moins de quarante ans au sérieux. Claire DeWitt s'autoproclame avec dérision la plus grande détective du monde, enquêtrice amateur à Brooklyn dès l'adolescence et adepte du mystérieux détective français Jacques Silette dont l'étrange ouvrage, « Détection », l'a conduite à recourir au yi-king, aux augures, aux rêves prophétiques et aux drogues hallucinogènes.
Claire entretient également une relation intime avec la Nouvelle-Orléans, où elle a été l'élève de la brillante Constance Darling jusqu'à l'assassinat de cette dernière. Lorsqu'un honorable procureur néo-orléanais disparaît dans la débâcle de l'ouragan Katrina, elle retrouve son ancienne ville, complètement sinistrée, afin de résoudre le mystère. Les indices la mènent à Andray Fairview, un jeune homme qui n'avait rien à perdre avant l'ouragan et encore moins depuis. Entre anciens amis et nouveaux ennemis, Claire élucide l'affaire, mais d'autres disparus viennent la hanter : sa meilleure amie et co-détective d'enfance, évaporée du métro de New-York en 1987, et la propre fille de Silette, Belle, kidnappée dans une chambre d'hôtel sans que personne ne l'ait jamais revue. « La Ville des morts » marque le début époustouflant d'une nouvelle série aussi originale que vivifiante.