Libraire spécialisé en roman policier, Malcolm Kershaw reçoit la visite surprise du FBI.
L'agent Gwen Mulvey enquête sur deux affaires étranges : une série de meurtres qui rappelle un roman d'Agatha Christie, et un "accident" qui fait écho à un livre de James Cain.
Elle espère donc que l'avis d'un expert du genre lui permettra d'interpréter correctement les (rares) indices à sa disposition. Et ce n'est pas tout : Malcolm, quinze ans plus tôt, a publié sur son blog une liste intitulée »Huit crimes parfaits», où figuraient ces deux intrigues.
Serait-il possible qu'un tueur s'en inspire aujourd'hui ? Très vite, l'angoissante certitude s'impose : le tueur rôde déjà à proximité. Malcolm commence à le voir partout, et sent un véritable noeud coulant se resserrer autour de son cou.
Une intrigue irrésistible et une brillante variation autour du roman policier, avec en filigrane cette question éternelle : le crime parfait existe-t-il ?
Natalie a une heure. Une heure pour recevoir la dose de vaccin antirabique qui lui sauvera peut-être la vie. Son mari vient d'être tué, elle a été mordue par un homme «zombifié» par l'épidémie de rage foudroyante qui submerge le Massachusetts. Le virus, véhiculé par la salive, transforme ses victimes en brutes qui mordent et infectent leurs semblables avant de succomber. La panique se répand. Les hôpitaux sont débordés, l'efficacité du vaccin n'est pas certaine contre cette forme déviante, à 100% mortelle. Natalie n'a qu'un espoir, celui de rejoindre son amie médecin Ramola Sherman. Toutes deux se lancent dans une course contre la montre et contre la mort, à travers une ville plongée en plein chaos.
Virtuose de l'horreur, Paul Tremblay signe un compte-à-rebours cauchemardesque empreint d'émotion.