Laëtitia Perrais avait 18 ans et la vie devant elle. Dans la nuit du 18 au 19 janvier 2011, elle a été enlevée. Puis tuée. Par la vague d'émotion sans précédent qu'il a soulevée, ce fait divers est devenu une affaire d'État. À travers cette enquête de vie, Ivan Jablonka rend Laëtitia à elle-même. À sa liberté et à sa dignité.
En 2008, Justin Fenton devient le reporter chargé des affaires criminelles au Baltimore Sun. Un poste convoité où, par le passé, s'est illustré David Simon, avant qu'il devienne le célèbre showrunner de la série The Wire. Baltimore est alors toujours la ville au taux de criminalité le plus élevé des États-Unis. Mais une unité spéciale d'agents en civil est en train de nettoyer les rues avec un seul mot d'ordre : tolérance zéro.
En 2017, la nouvelle tombe : sept des principaux officiers de l'unité spéciale sont arrêtés pour corruption et racket en bande organisée. C'est un véritable système d'intimidation, de faux témoignages, de collusion avec le monde du crime qui est mis au jour. En dépit de sa fréquentation assidue de la police, de la justice et des criminels, Justin Fenton tombe des nues. Il n'avait rien vu venir.
C'est cette incroyable affaire de corruption que Justin Fenton raconte dans cet ouvrage qui se lit comme un roman. Document humain et chronique criminelle d'une rare intensité, La ville nous appartient a été adapté sur HBO par David Simon, Ed Burns et George Pelecanos, pour une sortie en 2022.
Le nouveau récit de Sophie Bonnet, à paraître le 12 mai prochain.
De Solon aux gilets jaunes, l'expérience maintes fois répétée dans l'histoire nous enseigne que l'injustice, lorsqu'elle dépasse certaines bornes, engendre inévitablement la violence et menace la paix, aussi bien entre les nations qu'en leur sein. La justice sociale n'est pas un supplément d'âme pour des idéalistes au bon coeur, mais un gage de stabilité pour des politiques réalistes. L'histoire peut-elle aussi nous apprendre ce qu'est la justice ? Ou bien ne nous laisse-t-elle voir que les funestes effets de son absence ?
Voici, pour la première fois, une enquête complète sur la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). La DGSE n'a qu'un but:défendre les intérêts de la France. Pour cela, la loi l'autorise à «entraver» clandestinement, à l'étranger, les ennemis de notre pays. Si la Boîte, comme la surnomment ses 7000 agents, baigne dans le secret, l'ouverture est très nette:plus personne ne parle aujourd'hui de la DGSE sans évoquer sa spectaculaire vitrine, Le Bureau des légendes, série que notre enquête éclaire d'un jour nouveau.Assassinats ciblés, chasse aux «taupes» chinoises, infiltrations croissantes, recrutement, cyberguerre, opérations secrètes en Afrique... Autant d'histoires inédites enfin révélées dans ce livre.
Révélations d'un ancien agent de la DGSE.
Ancien agent de la DGSE, Olivier Mas a dédié trois ans de son existence au service des « légendes », envoyé sous couverture à l'autre bout du monde. Désormais libéré du poids du secret, il dévoile comment la DGSE et les autres services d'espionnage internationaux forment, préparent et encadrent ces fascinantes « légendes ».
En s'appuyant sur sa propre expérience et celle de cinq espions qui ont marqué l'histoire, Olivier Mas nous plonge dans les rouages techniques mais aussi psychologiques à l'oeuvre chez chaque agent, sans cesse confronté au secret, et à la peur, permanente, d'être découvert...
« Les autorités publiques, administratives et judiciaires ont, dans le passé, sans doute trop joué aux apprentis sorciers avec la pègre, pensant qu'elle pouvait les aider à combattre le nationalisme corse. » La Corse s'enfonce inexorablement sous le poids d'un pouvoir mafieux mortifère et prédateur. Alors que sur le continent, l'indifférence règne en maître, sur l'île, le fatalisme cohabite avec une crainte justifiée. Les premiers parrains du crime organisé sont morts mais le système n'a pas disparu. Pis, son emprise a progressé. L'aveuglement de l'État a laissé des voyous prendre une population en otage et soustraire un bout de territoire à la République. La violence s'exprime en pleine rue mais aussi de manière plus sournoise.
Fort de vingt ans d'enquêtes sur le sujet, Jacques Follorou nous livre un récit émaillé de témoignages inédits de sa plongée dans les abysses de la mafia corse où se mêlent pègre, entrepreneurs et politiques.
Comment des réseaux islamistes sont-ils parvenus à constituer des enclaves au coeur des quartiers populaires ? D'Aubervilliers à Toulouse, d'Argenteuil à Champigny, Mantesla- Jolie ou encore Molenbeek (Belgique), cet ouvrage étudie les stratégies et les pratiques des réseaux islamistes. Il documente précisément le maillage de l'espace local qui, des lieux de culte à ceux de loisir et d'activités professionnelles, aboutit à la constitution de « territoires d'islam » en rupture avec la société française.
Dans cette édition augmentée, un chapitre inédit est consacré au vote communautaire lors des dernières élections municipales, et un autre aux parcours des responsables des attentats de 2015.
700000 autistes et leurs familles rencontrent toujours les mêmes difficultés en matière de prise en charge. Profitant de leur impasse thérapeutique, un business parallèle de pseudo-thérapies, aux dérives parfois sectaires, s'est développé, représentant des millions d'euros.Aux côtés de ces marchands d'espoir, des chercheurs et des médecins organisent des essais non autorisés:traitements alternatifs, antibiothérapies de longue durée... prescrits à des enfants, sans preuve d'efficacité. Fake news de «guérisons magiques» et théories complotistes se propagent sur les réseaux, nouveaux prescripteurs médicaux qui échappent au contrôle des agences de santé. Il est temps de briser l'omerta.
Le procès des attentats de janvier 2015 contre Charlie Hebdo, une policière à Montrouge et l'Hyper Cacher s'étend du 2 septembre au 10 novembre pour juger quatorze accusés.
Yannick Haenel et François Boucq suivent chaque jour les audiences pour rendre compte, en textes et en dessins, de l'importance de ce procès.
1945. Au lendemain de l'armistice, alors que les Alliés entrent dans Berlin et font arrêter les plus hauts dignitaires nazis, le maître d'oeuvre de l'extermination des Juifs et de la solution finale, abandonnant derrière lui son uniforme de SS, disparaît soudain dans la nature. On ne retrouvera Adolf Eichmann que quinze ans plus tard, au terme d'une traque invraisemblable qui, de multiples échecs en avancées provisoires, d'un camp de prisonniers de guerre à une cabane de bûcherons, devait conduire ses poursuivants jusqu'à un faubourg misérable de Buenos Aires.
Tous les jours, près de chez vous, un bon père de famille couche avec sa petite fille de neuf ans. Ou parfois elle lui fait juste une petite fellation. Ou c'est une grande soeur avec sa petite soeur. Dans cette anthropologie de l'inceste, Dorothée Dussy se penche sur les mécanismes complexes par lesquels l'inceste est couramment pratiqué dans l'intimité des foyers français.
À la faveur du réel, et de la banalité des abus sexuels commis sur les enfants, l'inceste se révèle structurant de l'ordre social. Il y apparaît comme un outil de formation à l'exploitation et à la domination de genre et de classe. Cinq ans d'enquête ethnographique sont restitués dans ce livre : un voyage subversif au coeur de familles que rien, ou presque, ne distingue des vôtres.
Robert Badinter L'Exécution «Un grand roman classique, une histoire de haine, de sang, de mort et d'amour. Oui, d'amour. Unité de temps, de lieu, trois personnages : l'auteur, son vieux maître, la victime - oui, la victime - et puis la foule, avec quelques silhouettes bien plantées au premier rang. Un récit qui va droit son chemin vers la réponse à l'unique question : mourra-t-il oe Ce qui importe, c'est de savoir ce qu'est la justice, comment elle fonctionne, à quoi sert un avocat, pourquoi la peine de mort. C'est tout cela qui nous bouleverse dans ce beau livre, dur et sensible à la fois. Ne laissez plus passer, en tout cas pas ainsi, ce qu'on nomme par dérision peut-être la Justice des hommes.» Pierre Viansson-Ponté, Le Monde, 3 octobre 1973.
Dans la Californie des années 1970, un mystérieux tueur sème la panique. Il revendique une série de meurtres - des exécutions arbitraires, souvent de jeunes couples - par des missives provocatrices adressées à la presse, parfois accompagnées de messages codés. Au cours des cinquante dernières années, un seul de ces cryptogrammes a été déchiffré. Trois ont toujours résisté au FBI, et l'identité du tueur n'a jamais été découverte.
Hiver 2020, Paris. Fayçal Ziraoui, jeune polytechnicien, a du temps à tuer entre Noël et le Nouvel An. Il entend parler du Zodiac - un nouveau code a été déchiffré - et se prend de passion pour l'affaire. En l'espace de quelques jours, depuis sa salle à manger, il va décrypter les derniers messages. Et découvrir enfin l'identité du tueur qui a terrifié et fasciné l'Amérique.
Dans ce texte brillamment ficelé entre les seventies d'une Amérique sous tension et une enquête au présent au coeur d'un esprit génial, ce page-turner plonge le lecteur dans les tréfonds d'un des plus grands cold cases américains.
Robert Badinter L'Abolition « Ce livre est le récit de ma longue lutte contre la peine de mort. Il commence au jour de l'exécution de Claude Buffet et de Roger Bontems, le 24 novembre 1972, et s'achève avec le vote de l'abolition, le 30 septembre 1981.
Depuis lors, l'abolition s'est étendue à la majorité des Etats dans le monde. Elle est désormais la loi de l'Europe entière. Elle marque un progrès irréversible de l'humanité sur ses peurs, ses angoisses, sa violence.
A considérer cependant les exécutions pratiquées aux Etats-Unis, en Chine, en Iran et dans de nombreux autres pays, le combat contre la peine de mort est loin d'être achevé. Puisse l'évocation de ce qui advint en France servir la grande cause de l'abolition universelle.» Robert Badinter
Dans les tribunaux où il a exercé ses fonctions de juge des enfants, Édouard Durand a vu des enfants grandir et d'autres mourir. Celui que l'on surnomme parfois « l'ange gardien des petits » consacre sa vie à leur protection.
Au cours de ces entretiens, il nous raconte ce que nous préférons souvent ignorer : les violences conjugales, celles faites aux enfants, l'inceste. Il affirme avec force que la maison doit être un lieu de sécurité et que nous en sommes collectivement responsables. Déjouer la stratégie de l'agresseur, restaurer le langage face à la violence, remettre la loi à sa place : pour permettre aux enfants de grandir et les protéger, Édouard Durand appelle à une législation plus impérative, qui ne soit plus soumise aux aléas de perception d'un juge, d'un expert, d'une assistante sociale.
Ce livre nous élève en nous mettant à hauteur d'enfant. S'il dit la maltraitance, il rapporte aussidesmoments de joie quand la vie reprend son cours. Et entre les lignes, se dessine le portrait d'un homme qui refuse d'être spectateur de la violence, d'un juge engagé pour dire la loi d'une voix forte et claire.
Situé en plein coeur de Los Angeles, inauguré en grande pompe en 1924, le Cecil Hotel se mua, après la crise économique de 1929, en un repaire d'alcooliques, de junkies, de prostituées et de marginaux en tous genres. Dès lors, la mort vint souvent frapper aux portes de ses 700 chambres...
Théâtre d'une multitude de suicides, overdoses ou décès inexpliqués, le Cecil Hotel fut aussi lié à de célèbres affaires criminelles. Selon la rumeur, c'est là qu'aurait été vue pour la dernière fois en vie le Dahlia Noir, alias Elizabeth Short, retrouvée sauvagement assassinée en 1947.
Y logèrent aussi deux tueurs en série : Richard Ramirez, « le Traqueur de la Nuit », qui terrorisa Los Angeles dans les années 1980, et le journaliste autrichien Jack Unterweger, qui tua une dizaine de prostituées entre 1990 et 1992. Enfin, en 2013, le corps de l'étudiante canadienne Elisa Lam fut retrouvé dans un des réservoirs d'eau installés sur le toit.
Le Cecil Hotel est-il maudit ? Hanté ? Ce qui est certain, c'est que si un jour vous passez devant cet immense bâtiment de 14 étages, vous hésiterez à en pousser la porte...
J'ai choisi, dans mes archives personnelles, des affaires célèbres ou méconnues, qui toutes ont quelque chose à nous dire sur leur époque. Derrière l'affaire Violette Nozière : le tabou de l'inceste. Avec le gang de Roubaix : la radicalisation des nouveaux convertis et les premiers attentats terroristes. À travers l'attentat contre Jean-Paul II : les opérations spéciales des services secrets. Si certaines histoires auraient pu être imaginées par des auteurs de polar, la fameuse formule « la réalité dépasse toujours la fiction » est rarement prise en défaut. La mythomane narcissique Nicole Zawadski ou le crime du psychopathe Yves Dandonneau démontrent que l'intelligence criminelle est sans limite, dès lors qu'il s'agit de faire disparaître un corps ou de maquiller un crime, pour échapper à la Justice.
Au-delà des faits, ces affaires ne se veulent pas morales. Elles n'ont pas valeur d'exemples. Elles n'ont pas de messages à délivrer. Elles touchent chacun de nous, intimement, pour des raisons différentes, en écho aux mots de Maupassant : « Le fait divers, c'est la vie. »
Coincée dans une impasse économique aux portes de l'Orient, où les poches de pauvreté extrême côtoient une richesse provocante, la cité phocéenne n'est pas à un paradoxe près. Lui colle à la peau sa réputation de capitale de la violence, laquelle peut toucher, au bas de l'échelle, le petit dealer de la cité de La Viste comme, tout en haut, l'élu criblé de balles, ou encore le notable du port subitement disparu. Autant d'affaires, et de mystères, qui donnent à la métropole sa dimension nationale.
Jean-Michel Verne propose une enquête plurielle dans les souterrains de la ville la plus complexe de France, aussi fascinante que sordide, où se mêlent clientélisme, scandales en cols blancs, coups bas politiques, règlements de comptes, trafics en tous genres et espoir, aussi, de sortir enfin de l'ornière.
Peut-on être amoureux des faits divers ? Ce qui est certain, c'est qu'on peut se prendre de passion pour les personnages qui les habitent, qui les hantent, qui en vivent ou qui en meurent, victimes et tueurs, héros et justiciers, escrocs de haut vol et mystificateurs, journalistes et romanciers...
C'est à un bal « démasqué » que Didier Decoin invite le lecteur. Entrez dans la danse : de Marguerite de Ravalet, la jouvencelle qui perdit la tête (au sens propre) pour un amour maudit, à la troublante Amanda Knox et la petite Omayra Sánchez dont la mort retransmise en direct fit pleurer le monde entier, voici quelques demoiselles en détresse parmi les plus émouvantes. Face à elles, virevoltent les quadrilles diaboliques des cannibales, des kidnappeurs, des tueurs en série et des génies de la mort. Du maquis corse au boulevard du Crime, en passant par la forêt maudite d'Aokigahara et Boston tombée dans la mélasse, voici le petit peuple des faits divers et ses mille et une histoires. A peine croyables, mais pourtant vraies.
Véronique Sousset est directrice d'établissement pénitentiaire. Tirés de son vécu professionnel, ces Fragments de prison répondent au lecteur curieux et traversé d'impressions opposées, entre répulsion et fantasme, quant à ce lieu méconnu qu'est la prison : ses visages, ses histoires singulières, ses missions, ses ombres, ses représentations...
Mettre en mots la prison afin de ne pas laisser le silence dicter sa loi, faire entendre d'autres échos pour mieux comprendre le fonctionnement de l'institution carcérale.
Au travers d'anecdotes, de tranches de vie, de portraits, ce texte nous fait découvrir, au fil des pages, la vie de détenus, hommes et femmes, célèbres ou anonymes, et donne à voir la prison autrement : par le prisme de la rencontre.
« L'ensemble, passionnant et très instructif, se lit comme un roman tant les histoires racontées sont saisissantes. Et même parfois invraisemblables ».
L'Express.
Ce livre retrace des affaires hors norme, dont les scénarios sont à la mesure de l'imagination la plus audacieuse et la plus cruelle. Vous y rencontrerez des personnages aux destins hors du commun qui ont été les plus magnifiques arnaqueurs de leur époque.
Avec pédagogie, Christian Chavagneux décortique les mécanismes de leurs fraudes et rappelle que la forme particulière prise par chaque escroquerie n'est pas un effet du hasard. Elle révèle aussi les rouages de la société et de l'économie d'une époque. Une série d'enquêtes passionnante et riche d'enseignements sur la nature humaine et sur l'histoire du capitalisme.
« Dimanche 29 juillet 2018, dans la nuit, je suis réveillé en sursaut par un flash. Quelqu'un que je connais est en danger, je pense aussitôt à Tiphaine. » Damien Japon. Le 29 juillet 2018, en fin de matinée, Tiphaine Véron s'apprête à partir visiter les temples de Nikko, une cité touristique située au nord-est du pays. Ce voyage elle l'a préparé dans les moindres détails. Le lendemain matin, elle ne rentre pas à l'hôtel où elle séjourne. Commence alors une véritable enquête menée par sa famille pour la retrouver. Une course contre la montre racontée à travers les yeux de son frère Damien.
« Tiphaine mérite qu'on fasse respecter ses droits. » « Tiphaine... si tu es en vie quelque part : courage ma soeur ! Jamais je ne t'abandonnerai. » Damien
En octobre 2018, a` la suite d'une lettre de l'avocat de Nordahl Lelandais, en accord avec l'auteur, l'e´diteur Herve´ Chopin renonce a` publier le «roman enquête» de Michel Moatti, Un ami de la famille - rapport sur Nordahl L., consacre´ a` l'affaire Mae¨lys. Me Alain Jakubowicz menace, sur demande de son client, de solliciter l'interdiction judiciaire de publier cet ouvrage en raison d'atteintes a` la pre´somption d'innocence.
Pour l'e´diteur et pour l'auteur, il est inconcevable de verser un seul centime de dommages et inte´re^ts a` Nordahl Lelandais. Dans cette premie`re version du livre, centre´e sur la disparition de la petite Mae¨lys en aou^t 2017, Michel Moatti s'inte´ressait a` la personnalite´ complexe de Nordahl Lelandais, accuse´ de l'enle`vement et du meurtre de la petite fille.
Depuis, Michel Moatti a continue´ de s'investir dans cette affaire ; il a notamment longuement e´change´ avec Jennifer De Araujo, la maman de Mae¨lys, qui signe la pre´face de son livre. Une nouvelle version de l'ouvrage sera publie´e le 10 mars prochain. Rapport sur Nordahl L. est le fruit d'un travail rigoureux de quatre anne´es, qui expose sans fard cette histoire qui a effraye´ la France.
Un rapport en profondeur, mais a` hauteur d'e´motion, avec une ve´ritable analyse du fait divers et de sa mise en lumie`re dans notre socie´te´ actuelle.