La perle/the pearl (Edition bilingue français/russe ; Préface de Catherine Maillard ; traduction conjointe Marcel Duhamel)

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par MARCEL DUHAMEL

À propos

«Dans la ville, on raconte l'histoire d'une grosse perle - comment elle fut trouvée, puis perdue à nouveau. On raconte l'histoire de Kino, le pêcheur, de Juana, sa femme, et de leur bébé, Coyotito. Et comme l'histoire a été si souvent racontée, elle est enracinée dans la mémoire de tous. Et, comme pour tous les vieux contes qui demeurent dans le coeur des hommes, on n'y trouve plus que le bon et le mauvais, le noir et le blanc, la grâce et le maléfice, sans aucune nuance intermédiaire. Si cette histoire est une parabole, peut-être chacun en tirera-t-il sa propre morale et y lira-t-il le sens de sa propre vie. Quoi qu'il en soit, on raconte dans la ville que...»


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    John Steinbeck

  • Traducteur

    MARCEL DUHAMEL

  • Éditeur

    Folio

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    01/03/2000

  • Collection

    Folio Bilingue

  • EAN

    9782070407361

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    240 Pages

  • Longueur

    17.5 cm

  • Largeur

    11.5 cm

  • Épaisseur

    1.7 cm

  • Poids

    166 g

  • Diffuseur

    Gallimard

  • Support principal

    Poche

John Steinbeck

D'ascendance prussienne et irlandaise, J. Steinbeck naît à Salinas, petite ville de Californie, dans une famille modeste de quatre enfants. Il étudie à l'université de Stanford, en exerçant parallèlement de petits métiers: commis de vente, employé de ferme. Il abandonne ses études, quitte Los Angeles pour New York mais s'adapte mal à la ville. Après un échec dans le journalisme, il retourne en Californie et prépare son premier roman, La Coupe d'or, qu'il publie en 1929. Six ans plus tard, il connaît son premier succès populaire avec Tortilla Flat, chronique truculente de la vie des paisanos peu recommandables mais unis par la fraternité. Il prolongera cette veine anarchisante avec Rue de la Sardine et Tendre Jeudi. Ses autres romans parlent de l'inhumanité du développement économique et de la misère des journaliers. Déçu dans ses convictions socialistes, il finira par se rallier au "rêve américain" tout en se rapprochant de la nouvelle génération de l'Ouest et des Beatniks.
En 1948, il est élu à l'Académie Américaine des Arts et des Lettres et en 62, il reçoit le Prix Nobel de Littérature.Son oeuvre est généreuse et son originalité réside dans cette langue populaire, souvent cocasse, qu'il a su restituer; dans l'amitié et la solidarité qu'il a peint de façon émouvante.

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