Les raisins de la colère

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par CHARLES RECOURSE

À propos

«Dans les yeux des affamés se lit une colère grandissante. Dans leur âme les raisins de la colère sont chaque jour plus gros et plus lourds, et la vendange ne saurait tarder.» Au coeur de l'Oklahoma des années 1930, les petits exploitants agricoles se font racheter de force leurs terres et sombrent dans la misère. Mais, miracle, l'appel de la Californie retentit : ses fruits savoureux à cueillir, son coton à récolter et son grand besoin de main-d'oeuvre. Toute la famille Joad se serre dans un pick-up pour atteindre cet eldorado avec le rêve d'y faire fortune. Parviendra-t-elle seulement à échapper à la faim ?


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    John Steinbeck

  • Traducteur

    CHARLES RECOURSE

  • Éditeur

    Folio

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    21/03/2024

  • Collection

    Folio

  • EAN

    9782073043993

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    672 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    10.8 cm

  • Épaisseur

    2.7 cm

  • Poids

    340 g

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

John Steinbeck

D'ascendance prussienne et irlandaise, J. Steinbeck naît à Salinas, petite ville de Californie, dans une famille modeste de quatre enfants. Il étudie à l'université de Stanford, en exerçant parallèlement de petits métiers: commis de vente, employé de ferme. Il abandonne ses études, quitte Los Angeles pour New York mais s'adapte mal à la ville. Après un échec dans le journalisme, il retourne en Californie et prépare son premier roman, La Coupe d'or, qu'il publie en 1929. Six ans plus tard, il connaît son premier succès populaire avec Tortilla Flat, chronique truculente de la vie des paisanos peu recommandables mais unis par la fraternité. Il prolongera cette veine anarchisante avec Rue de la Sardine et Tendre Jeudi. Ses autres romans parlent de l'inhumanité du développement économique et de la misère des journaliers. Déçu dans ses convictions socialistes, il finira par se rallier au "rêve américain" tout en se rapprochant de la nouvelle génération de l'Ouest et des Beatniks.
En 1948, il est élu à l'Académie Américaine des Arts et des Lettres et en 62, il reçoit le Prix Nobel de Littérature.Son oeuvre est généreuse et son originalité réside dans cette langue populaire, souvent cocasse, qu'il a su restituer; dans l'amitié et la solidarité qu'il a peint de façon émouvante.

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