Il faut tuer constance

Traduit de l'ANGLAIS par PHILIPPE ROUARD

À propos

Par une nuit de tempête, un romancier en panne d'inspiration reçoit l'étrange visite de Constance Rattigan, une actrice mythique. Elle se sent persécutée. Pour preuve, ce «livre des morts» déposé devant chez elle et dans lequel sont énumérées les personnalités défuntes qu'elle a connues autrefois, ainsi que le nom de morts à venir. Elle figure sur cette liste...
Afin de venir en aide à son amie et de percer ce mystère, l'auteur plonge dans le passé de la star, convoque le fantôme de ses producteurs, de ses partenaires connus et inconnus, ressuscitant ainsi l'univers légendaire du Hollywood de la grande époque.
À la fois satire et célébration d'un univers perdu, Il faut tuer Constance, manière d'autobiographie imaginaire, achève le cycle dédié à Constance Rattigan initié par La solitude est un cercueil de verre et prolongé par Le fantôme d'Hollywood.


Rayons : Policier & Thriller > Policier


  • Auteur(s)

    Ray Bradbury

  • Traducteur

    PHILIPPE ROUARD

  • Éditeur

    Denoel

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    10/06/2004

  • Collection

    Denoel & D'ailleurs

  • EAN

    9782207254370

  • Disponibilité

    Manque sans date

  • Nombre de pages

    226 Pages

  • Longueur

    20.4 cm

  • Largeur

    13.9 cm

  • Épaisseur

    1.9 cm

  • Poids

    300 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Ray Bradbury

Raymond Douglas Bradbury (1920-2012) est né dans l'Illinois. Il a raconté son enfance, sous une forme déguisée, dans Le vin de l'été. Découvrant Edgar Allan Poe, Jules Verne, Edgar Rice Burroughs, les premières bandes dessinées de science- fiction, les films d'horreur, il décide très
tôt de devenir écrivain et fonde dès l'âge de quatorze ans un magazine amateur pour publier ses textes. Malgré quelques nouvelles fantastiques parues dans des supports spécialisés, son style poétique ne rencontre le succès qu'à la fin des années quarante, avec la parution d'une série de
nouvelles oniriques et mélancoliques, plus tard réunies sous le titre de Chroniques martiennes. Publié en 1953, Fahrenheit 451 assoit la réputation mondiale de l'auteur, et sera adapté au cinéma par François
Truffaut. Bradbury abordera également d'autres genres ; ainsi le roman policier avec La solitude est un cercueil de verre,le fantastique avec L'homme illustré, et d'autres domaines, en transposant Moby Dick au cinéma avec John Huston, et en écrivant des scénarios pour la mythique
série télévisée La Quatrième Dimension. Développant des thèmes volontiers antiscientifiques, Bradbury s'est attiré les éloges d'une critique et d'un public non spécialisés, sensibles à des visions nostalgiques et à sa prose accessible.

empty